Nouveau single de Gwen Stefani, produit par Pharrell Williams, comme à la “bonne époque”. Une décennie après le méga tube, la combinaison fonctionne-t-elle encore ?
Est-il encore nécessaire de parler de l’influence des Neptunes sur la pop culture des 00’s ? Le duo entre Pharrell Williams et Chad Hugo avait produit le meilleur album de Justin Timberlake (Justified), du Jay Z à la pelle ou encore le monstrueux hit “Hollaback Girl”, de Gwen Stefani, parmi tant d’autres.
Il y a quelques semaines, Stefani avait raté le lancement de “Baby don’t Lie”, qui manquait sérieusement de justesse, filtrant avec le pire de l’EDM. L’ex-chanteuse de No Doubt revient aujourd’hui à la raison et met en avant, en guise de second single, le morceau “Spark The Fire” produit par Pharrell Williams. Une combinaison qui rappelle le monster-hit “Hollaback Girl”.
Du vieux avec du vieux
Au programme, les même grands éléments : une prod percussive, un flow rentre-dedans, pas d’instruments mélodiques – sinon des espèces cloches harmonisés ou, sur le refrain, quelques synthétiseurs étouffés.
Verdict ? Si les tubes sont vraiment intemporels, celui-ci devrait faire un carton. On ne peut pourtant pas nier que la chanteuse n’est plus aussi virulente qu’il y a 10 ans, ni que l’effet de surprise des choix tactiques de Pharrell soit complètement caduque depuis une décennie. Finalement, on trouvera surtout ici un plaisir très nostalgique. A condition, seulement, d’en trouver un. On vous laisse trancher dans les commentaires.
