Ce qui nous a d’abord plu chez Etienne, c’est sa veste scintillante sur laquelle dansait les spots du live de Mike Snow. Et puis il s’est retourné. Après, ce qui nous a plu chez ce jeune modèle de 22 ans, c’est Etienne, tout court. Il a ensuite accepté de répondre à nos questions sur Rock en Seine. On les a posés sans
Ce qui nous a d’abord plu chez Etienne, c’est sa veste scintillante sur laquelle dansait les spots du live de Mike Snow. Et puis il s’est retourné. Après, ce qui nous a plu chez ce jeune modèle de 22 ans, c’est Etienne, tout court. Il a ensuite accepté de répondre à nos questions sur Rock en Seine. On les a posés sans glousser, promis.
C’est ta première fois à Rock en Seine ?
Oui, la toute première !
T’as vu qui aujourd’hui ?
J’ai pas vu grand monde. J’étais venu pour Sigur Ros et Club Cheval, je suis fan de Panteros666, et puis j’ai voulu aller me chercher à boire. Résultat, j’ai raté Sigur Ros, et puis j’ai ensuite raté Club Cheval.
C’est les 10 ans du festival : où étais-tu il y a une décennie ?
J’étais au collège, en sixième. Je m’en souviens, je sortais avec une troisième à l’époque.
Plutôt jour ou plutôt nuit ?
Ca dépend, quand j’ai du mal à dormir, je suis plutôt jour…
Quel est ton poison ?
L’amour !
La soirée de rêve qui tient de l’utopie ?
Je ne crois pas en l’utopie. C’est penser que mes rêves ne se réaliseront pas.
Quel est le festivaler idéal ?
Il a les cheveux violets et il porte une moustache.
Quel festival à part Rock en Seine ?
On a fait la Route du Rock et le Midi Festival, et c’était bien cool !
Ta playlist du moment ?
Craft Spells, en ce moment je réecoute pas mal de TTC, et puis, ça reste toujours culte, Ennio Morricone pour m’endormir.
Tu peux nous définir Rock en Seine en 3 mots ?
….Rock, En, et puis heu… Seine ?
Propos recueillis par Marine Normand et Mathilde Kichenama