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Vendredi Equitation avec Club Cheval

Nouvelle signature de Bromance Records, Club Cheval était chargé hier d’inaugurer les 3 heures qu’avait à sa disposition le label à Rock en Seine. Les quatre têtes du crew l’ont fait de manière totalement épique. Avant de se prendre ce gigantesque torrent de grosses basses et de beats au Domaine de Saint Cloud qui a la

Nouvelle signature de Bromance Records, Club Cheval était chargé hier d’inaugurer les 3 heures qu’avait à sa disposition le label à Rock en Seine. Les quatre têtes du crew l’ont fait de manière totalement épique. Avant de se prendre ce gigantesque torrent de grosses basses et de beats au Domaine de Saint Cloud qui a laissé tout le monde sans voix, le coeur résonnant au même rythme que leur dernière track, Marine Scherer est allé à la rencontre du Club. Sans son poney…


Que représente Rock en Seine pour vous ?

Myd : Un gros festival ! On en fait pas mal cet été, c’est notre première grosse tournée vu qu’on a sorti notre single juste avant (ndlr : chez Bromance Records ). On est très content d’être là, j’étais déjà venu en tant que festivalier pour voir Prodigy…

Panteros666 : Moi aussi, j’étais venu voir Blink 182 et les Deftones.

Vous jouez à Rock en Seine sous l’étiquette Bromance : pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

Myd : C’est le label de Brodinski , qu’on a rencontré il y a quelques années. Depuis l’année dernière on produit ses morceaux, on a donc passé pas mal de temps avec lui. Quand il a décidé de sortir son label, on lui a présenté les morceaux qu’on faisait à 4 sous le nom de Club Cheval, et il a décidé de les sortir. Gesaffelstein avait aussi sorti un EP, donc c’est un peu un label/famille, des gens qui se connaissent et qui ont la même vision de la musique, même si cette dernière sonne complètement différemment.

Quelles sont vos sources d’inspiration ?

Sam Tiba : C’est hyper vaste ! Moi, je viens plutôt du hip-hop et du dancehall.

Panteros666 : En musique électronique, je m’inspire de la Belgique et des 90’s, mais sinon, ce que j’écoute historiquement c’est du métal et du hardcore.

Myd : Perso, j’aime beaucoup la pop, je m’inspire des structures, autant de choses récentes comme les Black Eyed Peas que de morceaux plus old schools.

Canblaster : Et moi j’aime bien le vieux R’n’B et l’électro du début des années 90. J’ai aussi un faible pour la musique de jeux vidéos, que j’écoute même parfois sans y jouer.

Comment définiriez-vous votre style ?

Myd : On pourrait dire de la Trance R’n’B épique.

Où est ce qu’on peut retrouver à partir de 21h ?

Panteros666 : En train de manger ! Après, quand nous sommes à Paris, la plupart du temps on traine au Social Club.

Sam Tiba : On a nos petites habitudes de mecs de 37 ans, des petits restaurants très franchouillards, c’est là que vous pourrez nous trouver à coup sûr.

A part Paris, dans quelle ville aimez-vous faire la fête ?

Sam Tiba : Los Angeles, Tokyo et la Belgique !

Myd : On a pas mal eu l’occasion de voyager récemment grâce à Club Cheval, on a découvert plein de villes hyper cool.

Quel est votre poison ?

Canblaster : Les trois autres !

Panteros666 : Pas moi ! Mon poison, c’est le poisson. Cuit. Les poissons vivants, ça me passionne, mais dès que j’en vois un cuit, ça me met mal.

Canblaster : Dans ce cas là, moi c’est les artichauts, il s’est passé un truc dans mon enfance et maintenant, ce n’est pas seulement les manger, juste l’odeur de la cuisson ça me dégoûte. Voilà, l’artichaut, c’est ma NEMESIS.

Sam Tiba : Moi c’est vraiment les trois autres.

Votre soirée idéale ?

Sam Tiba : Une bonne soirée, ca serait avec un lineup d’amis, dans une ville cool, disons en Belgique. Le public serait un combo de puristes et de mecs bourrés qui veulent s’amuser.

Panteros666 : Tu pourrais aller du club à ton hotel et à ton restaurant à pieds. Ca ça serait vraiment pratique.

Canblaster : Et que l’éclairage soit dingue. C’est super important pour une bonne soirée.

Quelle est votre playlist du moment ?

Myd : Lost in your love de Red Light, qui est vraiment très bien. Elle a le mérite de nous avoir tous mis d’accord !

Propos recueillis par Marine Scherer, mis en forme par Marine Normand – Photographie Laurent Galant

Merci à Isabelle Champigneulle.