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L’interview Checkpoint de The Reflex

D’où vient-il ? Son disquaire préféré ? Où veut-il finir sa vie ? The Reflex, français exilé à Londres, nous dévoile les lieux qui rythme son quotidien.

Quel est le lieu où vous avez grandi ?

The Reflex : Avignon, ma ville natale.

Quel était votre lieu de vacances quand vous étiez enfants ?

The Reflex : On partait pas beaucoup en vacances mais on allait en Ardèche, j’ai de la famille là-bas.

Votre tout premier concert en tant que spectateur ?

The Reflex : J’ai migré à Londres à 18 ans et j’ai vu les Four Tops. C’était pas terrible, un peu cheap !

Tous les week-ends, je suis sur la route et la semaine, je suis en studio.

Où a lieu votre festival préféré ?

The Reflex : J’ai fait un festival qui s’appelle Boardmasters en Angleterre, dans les Cornouailles. C’est un lieu où les gens vont faire du surf et il y a une scène musicale au bord d’une falaise avec une vue incroyable. C’était spectaculaire.

Votre endroit préféré pour les befores ?

The Reflex : Tous les week-end je suis sur la route et la semaine je suis en studio. J’ai aussi une vie de famille tout de même ! Y’a une chose qui me manque aussi à Londres : les endroits open air. Y’a des restrictions massives au niveau du son.

Villa Schweppes à Mar A Beach et le

Villa Schweppes à Mar A Beach et le “dancefloor” devant lequel The Reflex jouait hier.

Un endroit pour vous retrouver seul ?

The Reflex : Mon studio.

Un endroit pour écrire de la musique ?

The Reflex : Pareil (rires). J’y suis à plein temps.

Où boit-on les meilleurs cocktails ?

The Reflex : Lobos, près de London Bridge.

Votre disquaire préféré ?

The Reflex : Discogs (rires).

Le lieu où vous voulez finir votre vie ?

The Reflex : Et bah pourquoi un lieu comme Calvi, en tout cas en Corse. La grande ville j’aime bien mais c’est tout de même stressant. J’aime me ressourcer dans des endroits calmes entouré de bons produits.