On vous entend déjà le dire, bien installé à une terrasse de Calvi, les yeux pas vraiment en face des trous “Comment ont-ils osé citer Claude François ?” On vous répondrait que ého, vous allez bien en concert en maillot de bain. Alors on fait ce qu’on veut, OKAY ?Il y a les lundis normaux, ceux avec le réveil douloureu
On vous entend déjà le dire, bien installé à une terrasse de Calvi, les yeux pas vraiment en face des trous “Comment ont-ils osé citer Claude François ?” On vous répondrait que ého, vous allez bien en concert en maillot de bain. Alors on fait ce qu’on veut, OKAY ?
Il y a les lundis normaux, ceux avec le réveil douloureux, les bouchons, les boutiques fermées et la tonne de mails qui vous attend au travail. Ceux là, pour tout vous dire, on ne les aime pas trop trop.
Puis, il y a ceux que l’on passe à Calvi pendant le festival, où l’on assiste aux concerts fabuleux de Nicolas Jaar ou de Para One alors qu’auparavant on chillait sur les DJ set de Vincent Vega ou Lee Douglas à la Villa Schweppes. Parfois, quand on a de la chance, on voit même Fafi en pleine réalisation d’une fafinette et on croise Brodinski et Gesaffelstein au bord de la plage. Ceux là, ce sont des lundis un peu magiques, qu’on aimerait capturer à jamais et passer en boucle sur le grand magnétoscope de la vie (on espère que vous apprécierez cette belle métaphore, elle nous a aussi beaucoup touché).
Marine Normand
