Skip to content

Rencontre avec Alison Wheeler : “J’aurais aimé être la copine d’un Quarterback”

A l’occasion de la fête du Studio Bagel pour leurs 2 millions d’abonnés, nous avons rencontré la jolie Alison Wheeler. En plus de la météo du Grand Journal et des vidéos sur internet, Alison nous livre quelques autres projets.

Villa Schweppes : Qu’est-ce que l’on a fêté le 17 mars au Bus Palladium ?

Alison Wheeler : On a fêté les deux millions d’abonnés sur internet, sur YouTube, on est tellement heureux d’avoir fêter ça tous ensemble, vous n’imaginez pas ! On l’a construit tous ensemble et c’est vraiment super.

Mardi, il y avait une ambiance de gamins, de fête, est-ce que c’est la même ambiance lors de vos tournages de vidéos ?

A.W. : Sur les tournages, on a souvent la contrainte du temps. Les équipes techniques bossent comme des malades, elles ont des horaires à respecter. Et cette ambiance de rigolade, de gamins comme vous dites, c’est entre les prises un peu foirées (Rires). Surtout avec Ludo, avec Jérôme, avec Poulpe qui sont des personnes qui font beaucoup d’effets pour te faire rigoler, te taquiner et souvent ça marche… C’est toujours un challenge de tourner avec eux ! Il y a toujours cette ambiance juvénile entre nous qui perdure, c’est vrai.

Est-ce que vous vous voyez souvent en dehors du boulot ?

A.W. : Ça dépend, on est un collectif donc il y a des affinités, des gens se voient plus que d’autres. On essaie quand même de nous voir pour des projets, pour le travail, on aime être tous en contact ça c’est sûr.

Vous avez un petit rôle dans le prochain film d’Alex Lutz, Le talent de mes amis. Le cinéma, c’est toujours un projet pour vous ?

La météo du Grand Journal de Canal +, ça me prend 99 % de mon temps et de mon énergie parce que j’y crois.

A.W. : J’avais commencé par le cinéma puis le théâtre et pour arriver à la télévision, je suis contente que ça se déroule comme ça. Après, je m’éclate à la météo du Grand Journal de Canal +, ça me prend 99 % de mon temps et de mon énergie parce que j’y crois. Ça me passionne, ça me motive et je dois écrire tous les jours 2 minutes de sketch sur l’actualité, c’est mon challenge, sans faire la même chose tous les soirs. J’aimerais bien quand même retourner au cinéma quand j’en aurai la possibilité. J’en serais ravie. Avec Alex Lutz, j’ai tourné un jour sur son film, c’était plus une invitation, il a invité des gens qu’il aimait bien, du Studio Bagel d’ailleurs. On était flattés. Tu sais, Alex Lutz a toujours été un de mes modèles, il est génial. J’adorerais bosser à nouveau avec lui.

La nuit, quand vous ne dormez pas, que faites-vous ?

Alex Lutz a toujours été un de mes modèles.

A.W. : Je fais mille aventures que je n’ai pas le temps de faire dans la journée. La nuit, je range mon appartement, je range ma vie, je parle avec mes amis qui me manquent. J’essaie d’anticiper et de penser aux gens que j’ai oublié parce que dans ce milieu, on privilégie son travail. Il ne faut pas oublier qu’il y a des gens sans qui nous ne sommes rien… Et la nuit, je me dis souvent que demain matin j’appelle mon meilleur ami ! Il m’appelle tous les jours et je suis une abrutie de remettre cette conversation toujours à plus tard… Mes proches sont essentiels pour moi.

Qu’est-ce que vous écoutez en ce moment comme musique ?

A.W. : Il y a une chanson que j’adore, c’est ” OMI “, c’est une chanson sur une cheerleader, ça me fait trop rire. Je suis dans un délire de cheeleader parce que je crois que je n’ai pas vécu l’adolescence que je voulais, j’aurais aimé être la copine d’un Quarterback.

Est-ce que le Studio Bagel est le concentré les filles humoristes les plus jolies de France ?

Pour les hommes, l’humour ça créé des rencontres. Chez les femmes, c’est plus compliqué.

Vous exagérez ! Il y en a plein des jolies dans le stand-up ! (Rires). Il y a Charlotte Gabris, Bérengère Krief, Shirley Souagnon et plein d’autres. On est des femmes mais on n’est pas là que pour séduire physiquement, ce n’est pas notre métier… (Rires). Je connais plein d’humoristes hilarantes qui ne me font pas kiffer. C’est vrai que c’est un réflexe que l’on a, tiens, elle est humoriste, est-ce qu’elle est jolie ? C’est en train de changer et c’est cool. Et puis vous savez, une fille ou un garçon joli, on s’identifie moins, on a tous une petite estime de soi et finalement, on aime mieux s’identifier à quelqu’un de moins joli. Et c’est pareil pour les hommes… Sauf que pour les hommes, l’humour ça créé des rencontres. Chez les femmes, c’est plus compliqué.

Question plus légère, si on vous dit Schweppes…

A.W. : … Mon Schweppes à moi, c’est le Tonic en lui-même et ce n’est pas parce que c’est gratuit au Grand Journal, j’en bois tout le temps ! J’adore ça.

Ndlr : On stoppe l’interview quelques minutes, Alison souhaite une bonne Saint-Patrick à sa maman qui vient de l’appeler.

En vous suivant au Grand Journal et sur internet, on se demandait : à quand le groupe de rap façon Alison Wheeler ?

A.W. : Ça m’obsède beaucoup, c’est vrai que ça a lien avec mon adolescence, le R’n’B a bercé mes années love, ça me démange cette idée… Je pense que ça ne va pas tarder… D’une façon love… Je ne sais pas comment vous allez mettre cette exclu par écrit mais j’en suis très curieuse. (Rires). Cet univers musical, j’ai envie de l’explorer, pas au premier degré car des gens le font beaucoup mieux que moi mais plus dans un second degré, déconner dessus.

Dernière question, est-ce que le Studio Bagel aurait marché s’il n’avait pas été un collectif d’humoristes mais… une sandwicherie ?

A.W. : Franchement, c’est une très bonne idée. Mais il faudrait une sandwicherie concept, genre un sandwich, une vanne. Un bon Mister V qui vient te dire ” Ma b*** ” sur son sandwich. (Rires). Sinon ça n’a pas d’intérêt…

Un petit mot sur Cannes cette année, est-ce que vous allez au Festival ? Qui aimeriez-vous rencontrer ?

A.W. : Écoutez, n’importe qui de riche (Rires). Je vais essayer de faire un beau spectacle à chaque fois, faire kiffer les gens présents à Cannes et surtout, passer de bons moments autour du cinéma, d’autres sujets si on peut.

Vous viendrez aux soirées de la Villa Schweppes, promis ?

Je ferai un R’n’B en direct de la Villa Schweppes.

A.W. : Volontiers mais seulement s’il n’y a pas trop d’attente ! L’an dernier j’ai attendu des heures jusqu’à me décourager… Mais cette année, avec plaisir et vous savez quoi, je ferai des claquettes. Et même un R’n’B en direct de la Villa Schweppes si je rentre rapidement.