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Chaleur, bonheur, fever

Paysage idyllique, pas un nuage dans le ciel, eau à 23°C sur Mar a Beach les C2C se relaient aux platines. Petit entretien avec 20syl, d’Hocus Pocus, très sympa et relax. En somme, tout va bien. On est mieux qu’en taule, hein. Encore, un petit bain au moment du coucher du soleil pour profiter de la lumière et des paysa

Paysage idyllique, pas un nuage dans le ciel, eau à 23°C sur Mar a Beach les C2C se relaient aux platines. Petit entretien avec 20syl, d’Hocus Pocus, très sympa et relax. En somme, tout va bien. On est mieux qu’en taule, hein. Encore, un petit bain au moment du coucher du soleil pour profiter de la lumière et des paysages magnifiques et on peut se considérer prêt à attaquer la soirée.

Les concerts, encore une “FAT” programmation

Parmi la vingtaine d’artistes pointus qui se produisent tous les jours à Calvi sur les différents sites, on a pu mater The Shoes (qu’on avait sentis bien chauds pendant notre interview réalisé l’après-midi). Ils n’ont pas déçus et les semelles du public ont bien frotté. Place ensuite au set de Breakbot, featuring Irfane, avec entre autres leur méga tube “Baby, I’m yours”, qui a excité tout le monde. Gesafellstein a clôturé le bal avec sa techno sombre, sculpturale, un brin apocalyptique, mais qui vous capture corps et âme.

Nuit riche et électrique

Un samedi de juillet à Calvi, pendant le festival, la nuit se prolonge indéfiniment. Les rencontres interlopes se multiplient. Weekend oblige, tous les amis corses sont là aussi. Chez Tao, dont la clique du Baron assure la programmation durant le festival, on attendait Brodinski et on a trouvé une foule survoltée, venant ajouter à la magie du lieu. Toute la citadelle était surbondée. Au port, plein de militaires en tenue, mais qui eux n’arrivaient plus trop à se tenir… Une des plus grosses garnisons de la légion étrangère se trouve à Calvi et le samedi soir, c’est grosse décompression. Quelques dialogues surréalistes entre militaires pompettes et festivaliers éméchés plus tard, on a glané une dernière phrase sur le port : “J’avoue (en ce moment, tout le monde commence ses phrases par “J’avoue”, vous avez remarqué ?) cette nuit, c’était fou !”

Monsieur B.