Le 21 et 22 novembre, Wax Tailor investissait le Trianon pour présenter à son public parisien ‘Dusty Rainbow from the Dark’, son dernier opus. Notre envoyé spécial Laurent Galant était présent. C’était le Normand Fakear qui était chargé de débuter les hostilités ce jeudi 22 novembre au Trianon. Faire une première part
Le 21 et 22 novembre, Wax Tailor investissait le Trianon pour présenter à son public parisien ‘Dusty Rainbow from the Dark’, son dernier opus. Notre envoyé spécial Laurent Galant était présent.
C’était le Normand Fakear qui était chargé de débuter les hostilités ce jeudi 22 novembre au Trianon. Faire une première partie est un challenge difficile quand on est un jeune artiste, mais le défi a été relevé brillamment, avec un son aux influences multiples. Une très belle découverte et la mise en bouche parfaite pour Wax Tailor…
Car c’était ensuite au grand maître du Trip Hop made in France de monter sur scène et de présenter à la foule son dernier album, Dusty Rainbow from the Dark. La salle est désormais remplie, le public aux abois. Il ne va pas ête déçu. Le show est total, avec des projections visuelles, et une scénographie soignée qui met complètement dans l’ambiance. Les invités s’enchainent : Charlotte Savary vient interpréter un morceau, puis c’est au tour du rappeur Mattic de balancer son flow sur la foule qui en redemande. Les anglais de “A State of Mind” viendront aussi plus tard pour “Say Yes”. En parfait Monsieur Loyal, Wax Tailor dirige de main de maître ses morceaux et donne à ses guests le terrain de jeu idéal pour laisser leur talent s’épanouir.
Puis c’est au tour des morceaux “Our Dance” et “Seize The Day” de résonner dans la salle. Le concert prend une autre ampleur, avec un public qui chante en coeur les morceaux. Wax Tailor enchaine ensuite un super final, digne des feux d’artifice, et termine son show après 120 minutes de pure folie. Le Trianon n’est pas prêt d’oublier son passage… Avec la Boiler Room, c’était l’événement de cette semaine !
La chronique du concert sur Pure Charts
La critique de l’album de Wax Tailor sur Pure Charts
Marine Normand avec Laurent Galant