C’est dans un magnifique loft caché dans un coin de la rue Portefoin dans le Marais, que La Clique a invité pour Dockers quelques amis à elle ce jeudi 10 octobre au soir. Au programme : présentation de la collection Alpha Khaki, mix de Victor Aime et burgers yummy. Les photos de la soirée.
19h au 11 rue Portefoin. La porte est semblable à toutes celles de la rue. On se demande si nous ne nous sommes pas trompés d’adresse. Un vigile passe la tête de derrière le portillon : “C’est bon, c’est bien par ici !” Nous traversons donc un porche et pénétrons dans un immense loft. À l’entrée, on découvre (avec une certaine exultation) un coin cuisine dans lequel on sert des amuse-bouches. Quelques pantalons de la nouvelle collection Dockers sont exposés. Plus loin, s’ouvre une salle immense dans laquelle sont installées deux impressionnantes installations lumineuses. La première ressemble à un escalier en bois géant mais a l’air si fragile qu’on n’y poserait pas son verre. La seconde est une inscription en néon rouge formant le mot “Alph(a)”. On a compris le message. Dans un coin de cette grande salle, sous un drapeau américain (!), Victor Aime passe déjà quelques morceaux : “Je viens de rentrer de vacances, c’est dur”. Un retour de vacances un 10 octobre, c’est effectivement violent…
Un garçon avec un t-shirt portant l’inscription “Chef 00” traverse la salle avec un plateau : “Quelqu’un veut un burger ?”. “Non, je vais plutôt tester le hot-dog veggie du Tricycle”, entend-on. On n’avait pas vu qu’au fond de ce qui ressemble à la piste centrale de danse, se cache un autre espace. C’est là que le foodtruck s’est garé. Le “vélo” est d’ailleurs pris d’assaut assez rapidement. On repère alors un autre escalier non loin. Il y a un étage ! En haut, d’autres pièces de la collection sont alignées sur des portants. On apprendra que le modèle de pantalon Alpha Khaki, à la coupe étroite entre le chino et le jean, a été créé pour une clientèle plus “jeune”. Du coup, on comprend mieux pourquoi c’était La Clique qui avait été choisie ce soir-là pour inviter du monde.
Gaspar Noé passe aussi à 21H50… soit 10 minutes avant la fin de la soirée
À partir de 20h30, la salle se remplit un petit peu. “On va proposer à quelques copains de passer” lâche un petit groupe d’invités. Il faudra qu’il fasse vite alors parce que les portes fermeront à 22h pétantes. Une des explications de l’un des organisateurs : “La voisine n’apprécie pas trop le bruit et les odeurs de cigarettes. D’ailleurs si vous voulez fumer, ça serait mieux que vous sortiez de l’immeuble…” On peut aussi carrément aller au bout de la rue. Sait-on jamais s’il y a du vent…
Les invités commencent néanmoins à se détendre, voire à danser. Victoria Bedos se balade et accepte de se plier à notre questionnaire nuit : “Il y a peu de monde mais peu importe, je peux danser seule moi”. Il lui faudra pourtant s’arrêter parce que l’horloge sonne les 22 heures et on nous prie de reprendre notre manteau au vestiaire. “La voisine…”. Le message est passé.
Le plus de la soirée : Le cadre magnifique. Hauteur de plafond, verrière, large piste de danse… Le spot parfait pour y organiser une fête… si la voisine ne râlait pas autant !
Le moins : Le peu de monde présent ce soir-là. Dommage, on aurait facilement pu faire rentrer huit fois plus de monde.
La rencontre de la soirée : Victoria Bedos : “Je fais de l’insomnie matinale”. Elle doit bien être la seule personne à être contente de se lever le matin.
La phrase de la soirée : “C’est bien, on a vu Alpha, mais où est Béta ?” (Il fallait la faire celle-là).
