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On y était : Délicieux Rituel aux Pavillons des Etangs

On a écouté de la bonne musique, pris plein les yeux avec de chouettes performances artistiques, et surtout un gros bol d’air aux Pavillons des Etangs en ce dimanche après-midi. On vous raconte.

Il y a des dimanches comme ça… où toutes les conditions sont réunies. Du soleil, des températures plutôt agréables pour la saison, et surtout un lieu dépaysant : Les Pavillons des Etangs. Ce 13 mars, Délicieuse musique et le projet Rituel ont décidé de mettre toutes les cartes de leurs côtés pour faire vivre aux visiteurs une belle fin de week-end.

Délicieux Rituel - Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel - Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel - Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel - Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel - Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel - Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les Pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel - Les pavillons des Etangs.

Délicieux Rituel – Les pavillons des Etangs.

La recette du succès ? De la bonne musique avec des artistes présents dans deux espaces différents : Le pigeonnier, un hangar à l’architecture moderne associant une belle armature en métal et des poutres en bois, où l’on a retrouvé Nu, Jacob Groening, ou Birds of Mind, Victor Norman, Nato & Sahalé ou encore Yarosslav. Une autre salle (plus cosy) accueille aussi les visiteurs : le “Salon 1899”. Au sol des tapis persans ajoutent un côté chaleureux à cette pièce voûtée. Plus la lumière du jour diminue et plus le bar, situé au fond de la salle, se fait mystérieux. Seule la lueur des bougies éclaire les barmen, des cagettes en bois servent d’étagères, et une tête de mort en verre décore avec discrétion le bar. Un univers clandestin, mais tout aussi accueillant, et rassurant. C’est dans cette salle que sont attendus Silens, David Mears, Petit Prince, et surtout Parra for Cuva. Autant le dire, le trio formé par Silens avait déjà permis d’augmenter la température de la pièce, mais Parra for Cuva a fini de réchauffer l’ambiance avec un public plus que réceptif. En bref, un live réussi et une chouette ambiance, on en redemande encore. Et une chose est sûre, on va suivre de près les projets de Délicieux rituel.

Ce n’est pas fini. Si vous ne comptiez que sur la musique pour vous en mettre plein les oreilles, c’était sans compter sur le live painting du graffeur Joris Del qui a amusé les visiteurs avec son portrait réalisé grâce à de la peinture phosphorescente en bombe. On a aussi retenu le parfait video mapping qui a habillé les arcades du salon 1899 créé et orchestré par la talentueuse Johanna Janoski.

À noter également : la présence de Gront dans les allées du pavillon. Un nouveau concept de restaurantation itinérante proposant des plats scandinaves comme des salades healthy, des sandwichs à base de pain danois ou encore des cakes. Un peu pris au dépourvu par leur succès au Nüba juste avant leur arrivée aux Pavillons des Etangs, l’équipe de Gront a tout fait pour mettre fin aux petites faims des participants.

Le plus de la soirée : le lieu et l’ambiance. Voir le coucher du soleil se refléter dans l’étang, tout en discutant autour d’un verre, d’une partie de cartes avec de la bonne musique pour rythmer cette fin de week-end. Il y a pire comme dimanche après-midi non ?

Le moins de la soirée : le lieu également. La nature a parfois un prix : celui des transports en commun. Heureusement, l’équipe de Délicieux Rituel a prévenu sur sa page facebook la venue d’un petit train jusqu’aux Pavillons des Etangs. Plusieurs histoires de taxis perdus ont raisonné dans nos oreilles… Mais peu importe, une fois sur place, on oublie tout de suite ces petites mésaventures.

La phrase de la soirée :Parra for Cuva ? Lui, c’est le père de mes enfants mais il ne le sait pas encore.” Oui. On est tombés de fans, des vrais.