Pour fêter la 25ème édition de leur festival, les organisateurs du Sziget Festival nous offriront des prestigieuses têtes d’affiches et de jeunes pépites sur 50 scènes. Rendez-vous du 9 au 16 août prochains sur l’Île de la Liberté en Hongrie !
Il s’agit du plus grand festival musical d’Europe (plus de 500 000 festivaliers s’y étaient pressés en 2016). Le Sziget se tient chaque été sur l’Île de la Liberté en Hongrie pour une semaine de concerts et de spectacles en tous genres. La 25ème édition qui aura lieu du 9 au 16 août prochains s’annonce dantesque à tout point de vue. Des prestigieuses têtes d’affiches internationales aux jeunes pépites, tous les artistes bookés sur les 50 scènes vont vous faire vibrer !
Les organisateurs du festival ont fait de P!nk leur invitée d’honneur. L’occasion pour le public de réécouter avec nostalgie ses tubes intemporels (“So What”, “Raise Your Glass”, “Stupid Girls”…) ou de découvrir ses morceaux plus récents.
Flume, Kasabian, The Kills, Major Lazer…
Parmi les autres gros guests, vous retrouverez dans ce line up quasi définitif les Américains The Chainsmokers et Major Lazer, le prodige australien Flume, mais aussi Kasabian, Macklemore & Ryan Lewis, Rita Ora, Wiz Khalifa, Two Door Cinema Club, ou encore The Kills, pour ne citer qu’eux.
La France sera, quant à elle, dignement représentée avec la présence de Biga Ranx, Naâman, Puggy, Rone et Clément Bazin.
Vous l’aurez compris, cette programmation des 25 ans est très ouverte : le reggae se frottera à la pop, le rap et le rock partageront des scènes communes et les férus de musique du monde se précipiteront sur la World Music Stage pendant que les aficionados de techno et de house squatteront la scène du Colosseum (pour consulter la programmation complète du festival, rendez-vous sur le site officiel).
Alors, un petit trip en Hongrie, ça vous dit ? Pour vous donner une petite idée, l’an dernier, ça donnait ça :
Sziget Festival, du 9 au 16 août 2017Ile de la Liberté (Budapest, Hongrie)Pass 5 jours à partir de 299 € disponibles ici !Un article d’Hugo Ferrandis