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Get Lucky manque de bol ?

Get Lucky dans une version inoubliable

Quand il n’y en a plus, il y en a encore. Vous avez eu 15 secondes de “Get Lucky”, puis après, une minute avec des images (merci Coachella) et, enfin, ENFIN, le morceau en entier . A partir de là, pourquoi ne pas le reprendre vous même et poster la vidéo sur Youtube ? C’est vrai ça, c’est pas comme si on ne l’avait pas

Quand il n’y en a plus, il y en a encore. Vous avez eu 15 secondes de “Get Lucky”, puis après, une minute avec des images (merci Coachella) et, enfin, ENFIN, le morceau en entier . A partir de là, pourquoi ne pas le reprendre vous même et poster la vidéo sur Youtube ? C’est vrai ça, c’est pas comme si on ne l’avait pas déjà assez entendu…

Une track. C’est tout ce que le grand public a pu entendre pour le moment du dernier opus de Daft Punk prévu pour fin mai. Pourtant, le monde est unanime. “Get Lucky” est le morceau de l’été, qu’on va servir à toutes les sauces, aux mariages comme sur les plages, et dans tous les clubs de France et de Navarre. Un vrai tube. Et à quoi reconnait-on un tube ? A sa capacité à être révisité.

Des fois, ça donne des choses bien (la version de George Barnett vaut carrément le détour), des fois, sincèrement, on pourrait s’en passer. Et alors qu’à l’ère pré-Youtube, les reprises moyennes étaient réservées à l’intimité (et aux amis compatissants), elles envahissent actuellement le monde virtuel. Notre préférée ? Evidemment celle d’Ivan Tønder, qui joue le tube des robots en mode relax, dans son petit peignoir, à la flûte à bec. On vous épargnera celles tendance Black Métal, celles de “petits groupes de copains qui font ça pour le fun”, les versions shredded, celles qui sentent le “je fais de la pop à ukulélé parce qu’en fait je suis une fille super profonde” et toutes les ré-interprétations ennuyeuses qu’inondent actuellement internet. Vous voulez la vérité ? La voilà. On est déjà à la limite de l’indigestion avec la version de Daft Punk. Alors les autres…

Marine Normand