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Chronique : le Macumba, petit dernier du Comptoir Général a ouvert ses portes !

C’est au 130 rue de Rivoli que l’équipe du Comptoir Général a décidé de lancer sa nouvelle aventure. Un petit club nommé le Macumba, dans lequel on a pris hier soir quelques photos en exclusivité !

Il aura quand même fallu quelques mois de travaux pour arriver à ce résultat : le Macumba vient remplacer le 130 Club, un petit club intimiste du premier arrondissement de Paris, connu pour ses after enflammés et son ambiance intimiste. L’ambition pour le Comptoir Général , c’est de raviver la vie nocturne dans un quartier assez mal desservi en clubs de qualité. L’univers du Macumba : la meilleure musique des années 75 à 95, et une direction artistique qui penche vers la mythologie pop… Vous comprendrez !

Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l'attention de la foule !

Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l’attention de la foule !

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Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l’attention de la foule !

Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l'attention de la foule !

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Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l’attention de la foule !

Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l'attention de la foule !

Les escaliers menant au club, et la salle aux statues du Macumba : assurément celle qui attire le plus l’attention de la foule !

Pour accéder au club, il faut descendre, et passer par de très jolis escaliers hélicoïdaux tapissés ; on sait que l’on s’apprête à mettre les pieds autre part, le temps de quelques heures. Passé le vestiaire, on se retrouve dans une cave d’ancienne Egypte, de chaque côté des statues égyptiennes nous observent. L’effort particulier porté sur la lumière dans le club est remarquable. Avec plus de lumière, on aurait tendance à se sentir comme dans un musée ; avec moins de lumière, l’ambiance catacombe pourrait elle aussi se faire ressentir. L’équilibre a donc été trouvé.

Au coeur de la mythologie pop des années 80

D’autant qu’en y regardant de plus près, les statues ne sont pas là par hasard. Si le club est très orienté musique des années 75 à 95, on comprend vite pourquoi ces statues sont ici… Elles représentes chacune, des dieux et déesses de la pop, qui ont marqué ces deux décennies. Des superstars qui ont toutes, à leur façon, influencé la création de ce lieu à l’atmosphère franchement unique. On ne veut pas vous spoiler, mais on a réussi à reconnaître Michael Jackson, par exemple. Non, on n’en dira pas plus. A vous de trouver !

Le club est également muni d’un très joli bar, dans lequel, comme au Comptoir Général, on nous sert de très bons cocktails – à base de rhum et de fruits notamment. Et la piste de danse aura de quoi satisfaire les fans de disco. Panneaux lumineux, boules à facettes, petite scène pour des lives enflammés, tout a été prévu pour que l’on y passe un moment hors du temps. On a d’ailleurs entendu qu’en octobre prochain, le club lancerait Macumba Hits, une application pour smartphone permettant, comme à la radio, de demander un morceau et de le dédicacer, en direct depuis le club !

Si le club est encore très jeune, on est certains qu’avec L’ADN du Comptoir Général, il saura éveiller la curiosité d’une large partie de la population de fêtards parisiens.

Le plus du club : Sa direction artistique ! Tout a été très bien pensé : même les hiéroglyphes sur les murs ont apparemment une réelle signification.

Le moins du club : Qui dit club intimiste, dit obligatoirement petit espace. Il faut donc aimer !

L’anecdote de la soirée : Le fumoir du club comporte un piano en bon état. En passant du dancefloor à la salle aux statues, on pouvait parfois entendre de très jolies notes de piano. Parfois, c’était aussi moins joli…