Un quinquennat, ça peut paraître long dans certains cas. Mais pas pour les petits chanceux qui suivent la Villa Schweppes pendant le festival de Cannes depuis maintenant cinq ans. Hâte d’en découdre sous le soleil de la côte d’azur ? Pour faire patienter les plus empressés, la soirée inaugurale parisienne avait lieu hi
Un quinquennat, ça peut paraître long dans certains cas. Mais pas pour les petits chanceux qui suivent la Villa Schweppes pendant le festival de Cannes depuis maintenant cinq ans. Hâte d’en découdre sous le soleil de la côte d’azur ? Pour faire patienter les plus empressés, la soirée inaugurale parisienne avait lieu hier soir dans le décor magistral et voluptueux de la Salle Wagram.
Au menu : Greg Boust, Poni Hoax et Aeroplane
A cet avant-goût de fiesta Cannoise, c’est Greg Boust, fidèle parmi les fidèles de la maison Schweppes, qui était en charge de nous concocter les entrées via un Dj set aussi savoureux que pétillant. Place ensuite aux Poni Hoax en live : musique incandescente et vénéneuse ouvrant une brèche électro au coeur du rock actuel. Un plat de résistance au final parfaitement digeste et consistant. En dessert enfin, le Dj belge Aeroplane proposait à la carte des mixs variées, sucrés ou acidulés. Descente en chute libre sur le dance-floor et orgie musicale qui s’est prolongée jusqu’au bout de la nuit.
Des people en stage de préparation
Dans la salle, distribution de hot-dogs généralisée. C’est important de prendre des forces en prévision du marathon Cannois. Norman, Ariel Wizman , Gunther love, Edouard Baer,Daphné Burki et autres célébrités venus s’échauffer, le savent bien.
Du calme, plus que trois semaines à patienter
Après l’arrivée du printemps et du beau temps, l’autre événement tant attendu de cette période de l’année, sera donc ce fameux festival du film et la folle effervescence festive qui l’entoure. Alors pour faire le plein de fête, cinéma, concerts, soleil, célébrités et autres alléchantes douces réjouissances, le rendez-vous est pris le 15 mai prochain sur la plage Schweppes ! Tiendrez-vous d’ici-là ?
Une chronique de Monsieur B.
