Quand les nuits sont éclairées d’un espoir nouveau, elles donnent parfois naissance à de subtiles mélodies sur lequelles danser en oubliant l’heure qui tourne… Nouveau single du nouveau prodige de l’électro française Yan Wagner (dont le tube Recession Song a fait s’agiter en 2010 de nombreux corps sur les dancefloor
Quand les nuits sont éclairées d’un espoir nouveau, elles donnent parfois naissance à de subtiles mélodies sur lequelles danser en oubliant l’heure qui tourne…
Nouveau single du nouveau prodige de l’électro française Yan Wagner (dont le tube Recession Song a fait s’agiter en 2010 de nombreux corps sur les dancefloors de France et de Navarre), Forty Eight Hours est une de ces chansons au beat cavalier, rappelant les pas de chevaux mythologiques galopant en cadence sur des kilomètres de synthés.
Ici des sons provenant de galaxies pop et new wave s’invitent dans un rythme froid et saccadé. Par dessus, la voix profonde et distante de Yan Wagner est chargée de faire passer des frissons bizarres dans l’épine dorsale de noctambules au coeur dévot envers le Dieu de la nuit.
Les 48 heures, on aimerait bien les avoir, pour ne pas s’arrêter de se trémousser en fermant les yeux, en ayant l’impression qu’il n’y a plus personne. Sauf Yan Wagner <3.
Marine Normand
