Rien n’arrête plus Stromae . Alors qu’il s’envole jusqu’à la stratosphère des charts, le Belge s’offre une Deezer Session habitée qui réjouira les fans et convaincra les derniers sceptiques. En onze minutes, il met tout le monde d’accord. Avec trois chansons, il impose, si c’était encore nécessaire, sa classe surnature
Rien n’arrête plus Stromae . Alors qu’il s’envole jusqu’à la stratosphère des charts, le Belge s’offre une Deezer Session habitée qui réjouira les fans et convaincra les derniers sceptiques. En onze minutes, il met tout le monde d’accord. Avec trois chansons, il impose, si c’était encore nécessaire, sa classe surnaturelle. Place au génie.
La force de Stromae, c’est que tout est simple : Le larron est modeste face au micro, les textes sont évidents et les compositions vont droit au but. Ainsi, il ne s’offre aucun artifice, joue dans cette pièce aux murs blancs comme neige qu’il remplit de sa simple présence. “Papaoutai” prend une nouvelle dimension, moins tube de l’été, plus prenante, quand “Formidable ” atteint son plein potentiel Jacques Brel 10’s. On met un petit bémol sur “Alors on danse”. La faute à une rotation radio trop violente ?
Difficile de dire ça quand on voit le garçon qui, malgré une prise d’assurance évidente, semble toujours un peu désolé d’être là, avec son look preppy et une taille qui semble le dépasser. Mais c’est pourtant évident. Le boss, c’est Stromae.
