Stand’arT, c’est un collectif de 4 garçons, Malik Benbourek, Damien Chauvier, Mathieu Chavaren et Tim Boal. Surfeurs, peintres, artistes, DJ, ils font de Biarritz un haut lieu de la nuit et de la fête, avec à chaque événement, plus de 1000 personnes présentes. De quoi leur accorder une mise en lumière depuis le Big Festival 2015 !
Villa Schweppes : Qu’est-ce que Stand’arT ?
Tim : Tout a commencé il y a un peu plus de 3 ans. À la base, c’était juste un groupe de potes. Rien ne nous correspondait vraiment au niveau des sorties, on a voulu faire quelque chose ensemble. Petit à petit, ça a pris. Aujourd’hui, on fait ce qui nous tient à coeur, pour des oeuvres caritatives par exemple. C’est un collectif avec une certaine identité musicale et artistique. On fait notre truc ! C’est la première fois que l’on est sur le Big Festival, c’est cool, c’est la plage, c’est chez nous !
Vous êtes tous de Biarritz ?
Tim : Je viens des Antilles mais ça fait plus de 15 ans que je vis ici, à l’origine, je suis surfeur professionnel. Malik est de Tiros, il fait de la musique depuis tout jeune, il était Dj et il est vraiment passionné par ça. Mathieu, il habite ici depuis presque 10 ans, il est artiste peintre. Damien aussi, il a voyagé partout dans le monde. Je ne sais même plus comment nos chemins se sont croisés mais je crois que c’est par l’intermédiaire de potes !
Quelles sont tes impressions de ce soir ?
Tim : C’était bien, on a eu la petite compétition de surf où les primes étaient reversées à Handi surf. On a profité de copains surfeurs pour les faire venir, l’occasion de créer comme un petit spectacle et c’est sympa. Pour la soirée, ça s’est bien mélangé avec la musique. On a invité deux artistes, Viken Arman et Vox Low.
Est-ce que ça bouge à Biarritz ?
Tim : Oui, ça bouge pas mal à Biarritz ! Il y a plein de trucs ! Nos soirées, c’est régulier, on se décide toujours une semaine à l’avance et ça prend de l’ampleur, on a entre 1000 et 2000 personnes à chaque fois. En grande partie, on est sur la Côte des Basques, on se cale au bout, sur une terrasse. Après, on n’est pas les seuls sur Biarritz, il y a deux ou trois autres collectifs et ça bouge la nuit !