Vous avez peut être déjà vu la page du site apparaitre dans vos suggestions Facebook mais vous ne vous étiez jamais vraiment demandé de quoi il s’agissait. Smeeters n’est pas que le nom de l’assistant de Mr Burns dans les Simpsons, c’est aussi le nouveau site de rencontres pour adeptes d’apéros.
Vous avez peut être déjà vu la page du site apparaitre dans vos suggestions Facebook mais vous ne vous étiez jamais vraiment demandé de quoi il s’agissait. Smeeters n’est pas que le nom de l’assistant de Mr Burns dans les Simpsons, c’est aussi le nouveau site de rencontres pour adeptes d’apéros.
Smeeters c’est l’histoire de quatre copains, Till, Anton, Laure et Romain. Comme tous les jeunes gens de leur âge, ils sortent, chattent et aiment faire des rencontres. Ils décident donc de mixer tout ça et lancent en avril 2013 le site Smeeters. Le principe est simple : se faire rencontrer autour d’un verre deux groupes de filles et de garçons, soient six personnes et, ainsi, leur éviter le coup du face à face arrangé gênant.
Comment ça marche ? On s’inscrit sur le site via son profil Facebook et on répond à quelques questions de type “Le samedi soir, tu préfères rester cosy chez toi, sortir en club ou peu t’importe tant que tu es avec tes potes ?” et “Tu préfères parler des Anges de la Téléréalité, de tout et de rien ou de philosophie ?” (Choix cornélien pour cette question). Ensuite, on indique ses attentes : choper, rencontrer des gens sympa ou se marier (sic !). À partir de ces informations, Smeeters vous attribue à vous et vos deux copines (ou vos deux copains si vous êtes un homme) un groupe de trois autres personnes du sexe opposé (ou de même sexe si vous êtes homo), mais les membres de ce groupe vous restent inconnus jusqu’à la date de votre premier rendez-vous. Vous choisirez néanmoins ensemble la date qui vous convient pour la première rencontre et l’équipe de Smeeters s’occupe du reste, à savoir de la réservation dans un bar “sympa” et de la première tournée… moyennant 15 euros ! Ça fait cher si on souhaite juste prendre un demi, mais bon il faut ce qu’il faut !
