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Schweppes Zéro : l’interview tattoo de Daphné Bürki

Mardi, en compagnie de cupcakes moustachus et à grosses bouches (désolé de remettre ça sur le tapis hein, mais ils étaient vraiment trop bons), nous avons fait connaissance avec la petite dernière de la famille Schweppes. Une canette en édition limitée, disponible dès le premier avril, et dessinée par le couple fétiche

Mardi, en compagnie de cupcakes moustachus et à grosses bouches (désolé de remettre ça sur le tapis hein, mais ils étaient vraiment trop bons), nous avons fait connaissance avec la petite dernière de la famille Schweppes. Une canette en édition limitée, disponible dès le premier avril, et dessinée par le couple fétiche Daphné Burki et Gunther Love. Ce dernier étant un peu en retard le jour de la conférence de presse (bloqué dans le train sous la neige), nous en avons profité pour parler tatouage avec sa bien-aimée Daphné. Rencontre autour d’un verre (et de cupcakes).

OnVillaNuit : De quand date ton premier tatouage ?

Daphné : C’est assez récent finalement : le premier a trois ans, et c’est le prénom de ma fille, il est sur mon poignet en tout petit.

OnVillaNuit : Quel est ton style de tatouage préféré ?

Daphné : Je n’ai qu’une seule tatoueuse, installée à Londres, Sharon. Je vais toujours au même endroit. Elle possède un style assez rétro, qu’on apprécie beaucoup. Pour mes tatouages, nous les dessinons ensemble. Je lui raconte un peu ce qui m’est arrivé dans la vie, et mon envie de les noter quelque part. Il y a ensuite un vrai échange, je lui envoie des dessins, on les travaille par mail, et je m’envole ensuite pour l’Angleterre. C’est tout un cérémonial.

OnVillaNuit : Comment vous ait venu l’idée de mettre ce tatouage sur la canette de Schweppes Zéro ?

Daphné : Schweppes nous a demandé avec Gunther de nous pencher sur des canettes en édition limitée. Gunther travaille depuis longtemps avec eux (ndlr : souvenez-vous du festival de Cannes ! ), et on aime beaucoup la marque : la Villa Schweppes reste l’endroit où l’on fait le mieux la fête ! Quand ils nous ont demandé ce que nous souhaitions faire, on s’est dirigé naturellement pour mettre un croquis sur cette canette, comme si nous l’avions dessinée nous-mêmes. Nous avons fini par nous dire qu’il fallait aller au bout de cette idée, et de carrément mettre nos tatouages.

OnVillaNuit : Vous avez de nombreux tatouages avec Gunther : les réfléchissez-vous ensemble ?

Daphné : On se consulte, en effet, mais on n’oublie pas de se faire quelques surprises… Quand je mets ses initiales sur moi, il se fait au même moment tatouer mon prénom, tout ça dans le plus grand secret. Quand tout est terminé, on finit par se les montrer, et on se dit “roooh, quand même, qu’on est COUILLONS” (rires).

OnVillaNuit : As-tu un tatouage préféré ?

Daphné : Il est à venir. Le tatouage, c’est vraiment une addiction , quand on commence, on ne peut plus s’arrêter. Une fois qu’ils sont fait, on ne les voit plus, donc on émet déjà le désir d’un autre…

OnVillaNuit : Ton opinion sur le Schweppes Zéro ?

Daphné : C’est le seul que je bois. Gunther n’a pas vraiment de préféré, moi je ne bois que du Schweppes Zéro. Pourtant, cela a été un pur hasard de dessiner sa canette !

OnVillanuit : Qu’écoutes-tu actuellement ?

Daphné : Je le reçois ce soir (l’interview était organisée le 19 mars), j’écoute donc Woodkid . Son album est vraiment très bien.

Propos recueillis par Marine Normand