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Rock en Seine 2013 jour 1 : début des hostilités !

Il fait beau, il fait chaud, et nous voilà au Parc de Saint-Cloud, avec un sac à dos bien attaché, des lunettes de soleil sur le bout du nez, prête à en découdre avec les concerts qui ponctueront toute cette première journée. Rock en Seine, c’est parti !

Il fait beau, il fait chaud, et nous voilà au Parc de Saint-Cloud, avec un sac à dos bien attaché, des lunettes de soleil sur le bout du nez, prête à en découdre avec les concerts qui ponctueront toute cette première journée. Rock en Seine, c’est parti !

C’est en courant qu’on arrive sur le site : et oui, après avoir passé un peu trop de temps dans les transports en commun, on a failli rater le concert abrasif du groupe Savages . Ca aurait été vraiment dommage : le quatuor féminin nous a mis une bonne raclée, qui nous a réveillé comme une douche froide. On en avait bien besoin.

Après avoir fait le plein de joie pop avec le live de Belle and Sebastian, rendez-vous à l’espace presse pour discuter avec Hanni El Khatib assez relax avant son live. Un peu trop néanmoins : à force de parler, on a failli rater le concert de Tame Impala, qui a coloré le Parc de Saint-Cloud aux couleurs tye and dye, diffusant une musique psyché parfaite pour aller avec la chaleur ambiante.

On surfe ensuite sur la vague un peu Woodstockienne pour se rendre au show d’Alt-J, toujours très efficace en live, et on pleure une absence. C’est en effet DIIV qui a annulé au dernier moment. C’est dommage, après leur excellente prestation au Pitchfork, on avait vraiment envie de renouer avec les petits américains. Une prochaine fois.

D’un coup, mouvement de foule : le festival se vide. The Pastels, pourtant très beau et doux, jouent devant une foule disséminée (mais fortement indé). La raison ? Franz Ferdinand se produit sur la Grande Scène, et on retrouve là-bas 90% des festivaliers. La grosse machine a fonctionné comme sur des roulettes : la foule était conquise. On s’est même retrouvé à hurler TAKE ME OUT comme si on avait 13 ans. Pour vous dire.

Après un Kendrick Lamar qui a fait sortir notre côté badboy (et quelques figures de twerking ), on est allé voir Paul Kalkbrenner, qui a transformé la pelouse de la Grande Scène en dancefloor géant. En partant, lessivé par tant de bon son, on a fait un coucou au garage tout smooth de Hanni, et on a laissé les points d’exclamation (chk chk chk) en suspension… En attendant samedi !