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Revolver, c’est de la balle

Amis allergiques aux jeux de mots, passez votre chemin : la série continue. Les calembours vont en effet émailler toute cette chronique consacrée à la soirée concert du magazine PLUGGED du 26 juin au 114. Avec pour la mise en joue Liza Manili, suivie des gros calibres de Revolver. Liza Manili en première partie La pre

Amis allergiques aux jeux de mots, passez votre chemin : la série continue. Les calembours vont en effet émailler toute cette chronique consacrée à la soirée concert du magazine PLUGGED du 26 juin au 114. Avec pour la mise en joue Liza Manili, suivie des gros calibres de Revolver.

Liza Manili en première partie

La première détonation de ce soir était donc assurée par la sympathique Liza Manili à la pop fraîche et lumineuse, très eighties. Moins “Las Vegas” que la Minelli du même prénom, Liza est en revanche beaucoup plus espiègle, solaire et pop. Comme en plus, ses textes sont tantôt légers, tantôt un brin mélancoliques, nous on préfère.

Kiss Kiss Bang Bang

Vînt le tour des Revolver de faire feu sur le 114. Ce fût beau, ce fût propre, ce fut rock ! Le trio a dégainé en mode silencieux avec plusieurs ballades acoustiques aux lignes mélodiques dans lesquelles les cordes des guitares se mêlent pêle-mêle à celles du violoncelle (Attention, ceci est une allitération). Passés ensuite en mode automatique, ils ont appuyé sur la gâchette avec plusieurs titres beaucoup plus rocks, groovys et dansants. Une chose est sûre : les cowboys visent systématiquement juste avec leurs compos folk/pop toujours bien senties, leurs mélodies envoûtantes parfaitement léchées. Maîtrise idéale de l’harmonie. Quelques coups plus tard, le cran de sureté a définitivement sauté avec la reprise bien chaloupée de “How deep is your love” des Bee Gees. En fait, c’est simple : Revolver, ça tue !

Une chronique de Monsieur B.