Jeudi 29 août, Adrien Moisson et son équipe ont convié leurs amis et quelques journalistes à venir découvrir en Avant-Première leur petit bébé, Le Blue. Nous étions bien évidemment au rendez-vous.
Jeudi 29 août, Adrien Moisson et son équipe ont convié leurs amis et quelques journalistes à venir découvrir en Avant-Première leur petit bébé, Le Blue. Nous étions bien évidemment au rendez-vous.
Le planning de la soirée était le suivant : de 18h à 21h, présentation des lieux à la presse puis, soirée “entre copains” le reste de la nuit. Les choses ne se sont pas exactement passées comme ça. On vous explique : Mon acolyte et moi même arrivons 14 rue Muller vers 19H. Mais là surprise: “On a pris un peu de retard sur l’installation mais on va vous ouvrir les portes”, nous sort-on à l’entrée. Aïe.
Heureusement, on n’attend finalement que cinq minutes avant de pénétrer dans l’antre du Blue. Il fait noir, il fait bleu, il fait… chaud ! “On a eu un petit souci avec la clim”, cf les organisateurs. Heureusement que les hôtesses sont là pour nous servir une piscine de champagne ! “Ça vous plaît ?”, s’empresse de nous demander Adrien (Moisson, ndlr) ? “Oh oui !” Un faisceau lumineux bleu géométrique parcourt la salle de part et d’autre. C’est magnifique et vraiment original ! “Tant mieux !”, sourit le patron. Avant d’ajouter : “Passez donc aussi au 6 rue Muller, plus bas, on n’a pas chômé cet été.” C’est noté…
C’est pile à ce moment là qu’arrive notre photographe, Jean Picon. Jean, en bon pro, attaque par quelques portraits (d’abord quelques bises, en fait) puis nous prenons la direction du bar. Guillaume Sanchez, le pâtissier star en charge du bar, s’occupe de faire goûter à ses invités son cocktail signature : Le Blue. On en profite évidemment pour noter la recette du breuvage.
Il est déjà 22h. Arthur Castillon (Benjamin Braddock), bon élève, s’applique toujours derrière les platines et ne sera remplacé par Acid Arab qu’à 23h. On profite d’un break (peut-on parler de break vu le monde qui s’agglutine encore à la porte ?) pour passer à la Maison Muller, au numéro 6 de la rue, donc. Il y a tout autant de monde. Certains papotent sur les canapés, d’autres sirotent des verres dans la cuisine ou sur la terrasse et… d’autres encore se font même couper les cheveux dans le salon ! C’est comme ça ici, comme à la maison… Oui, mais on nous signale que la maison ferme ses portes avant minuit. Il est donc temps de retourner au numéro 14. Le club s’est vidé, on respire beaucoup mieux. Du coup, on resterait bien finalement pour boire un autre dernier verre avec des membres de la Splendens mais bon, demain il y a bureau. De toute façon on pense revenir très vite, ne serait-ce que pour découvrir le sous-sol resté encore secret.
Le plus de la soirée : L’ambiance bon enfant et l’hospitalité de tous le crew, vigiles à l’entrée compris.
Le moins : La moiteur ambiante (Le pull, c’était vraiment pas indispensable)
La rencontre de la soirée : Polocorp qui débarque à minuit : “C’est fini ?” “Ba oui”.
La bonne blague de la soirée : Avoir passé au moins un quart d’heure à faire des signes à la fenêtre du club à mes amis dehors… avant de comprendre qu’il s’agissait d’une glace sans tain.