Le concept store beauté qui affole la presse depuis un an fêtait hier son premier anniversaire dans sa boutique rue Bachaumont dans le 2ème arrondissement. La Villa Schweppes était au cocktail et en a profité pour faire un bilan olfactif. Retour en images.
Le concept store beauté qui affole la presse depuis un an fêtait hier son premier anniversaire dans sa boutique rue Bachaumont dans le 2ème arrondissement. La Villa Schweppes était au cocktail et en a profité pour faire un bilan olfactif. Retour en images.
Nose est plus qu’une parfumerie, c’est un véritable concept store beauté avec sa propre technologie de diagnostic olfactif. L’idée ? Vous indiquez en boutique ou sur le net vos trois parfums préférés, votre âge, sexe et lieu de résidence. Et la marque, grâce à son logiciel top secret, vous oriente vers des fragrances susceptibles de vous plaire que vous noterez.
Cet ingénieux concept séduit les médias et les clients depuis un an maintenant. Le créateur de la marque, Nicolas Cloutier, a donc décidé de fêter ça le plus simplement du monde, dans sa boutique, son “QG”, autour de quelques verres de vins. Les invités ? Ses associés et ses amis dont Rasmus Michau, sa femme Maria Kloosterman et son associé Adrien Messié (fondateur de la marque de bijoux Le Gramme), le journaliste et DJ Sébastien Parraud et le touche-à-tout Jacques Shu.
Après avoir interviewé quelques personnes et pris quelques photos en compagnie de l’équipe de Ten Days In Paris, nous filons découvrir les étals de la boutique. Beaucoup de vendeuses sont mobilisées pour conseiller les invités. L’une d’elle, une certaine Judith, nous propose un bilan olfactif et, c’est avec un certain étonnement que l’on constate la justesse du diagnostic.
Au fond de la boutique, au rez-de-chaussé, l’illustrateur de la marque, Damien Florevert Cuypers, auteur également pour le New York Times et Grazia, dessine les clients au Crayola. En à peine quelques minutes, l’artiste dresse un portrait saisissant de ressemblance. Etonnant… Nous n’aurons malheureusement pas le temps de passer par ses doigts experts, la boutique s’apprête à fermer ses portes. À presque minuit, il était temps!
