Skip to content

Live In Levi’s : Une soirée à danser avec Philippe Zdar, Arthur King et Manaré

Mercredi 10 septembre, Levi’s nous avait convié à découvrir sa nouvelle campagne “Live in Levi’s®” dans un magnifique loft rue de Turenne dans le Marais. Une très belle et très fun soirée de rentrée !

Il existe à Paris un tas de magnifiques hôtels particuliers cachés. On avait pu le constater lors de la soirée Alpha Khaki par Dockers et La Clique. Ce soir-là, c’est dans un magnifique loft caché derrière un classique porche de la rue Portefoin qu’on avait pu faire la fête. Ce mercredi 10 septembre, c’est encore dans un incroyable showroom du Marais que nous avions rendez : au numéro 60 de la rue de Turenne. Il est 18h30 et les portes s’ouvrent devant une petite foule à la queu leu-leu. “Bienvenus chez Levi’s”, nous lance une jeune fille tout sourire en jean/ tee-shirt. Dans l’entrée, sont projetées des images de la nouvelle campagne “Live in Levi’s®”, tandis que dans une seconde pièce Yannick Do puis Manaré commencent à mixer. La musique est cool, le cadre est beau et blanc et… ça sent bon ! La pizza en l’occurrence. On comprend mieux pourquoi les invités se sont tous rués sur le bar (oui, pour la bière aussi).

Au milieu de la salle, on aperçoit à une table une artiste, imperturbable, en train de peindre sur un jean. Il s’agit de Safia Bahmed-Schwartz, une artiste plasticienne qui a participé à la campagne. Devant elle, se dresse une autre porte fenêtre qui mène à une cour (et accessoirement à un autre bar). Là, quelques gens de la mode parlent, plaisantent et fument… du moins jusqu’à l’arrivée de Philippe Zdar.

Les bras se lèvent et les tableaux tombent

En effet, quand la moitié de Cassius débarque derrière les platines (suivi de près de son acolyte Boom Bass qui tente de passer inaperçu dans la salle) ce petit monde se rue alors à l’intérieur et commence à danser gentiment. Puis le gros producteur laissera sa place au DA, graphiste et DJ hip-hop Arthur King. Celui qui, paraît-il, est connu pour être “l’un des mecs possédant le plus de musique inconnue en France”, fera grimper les bras en l’air (et tomber l’un des tableaux). Il est maintenant 21h30, l’ambiance a carrément (et agréablement) dégénérée et alors que toute la salle est en transe sur Notorious Big, on se demande comment le crew Levi’s va pouvoir mettre ce petit monde dehors dans une demi-heure sans créer une émeute.

La réponse est : “assez simplement”. Effectivement, à 22h03, la musique s’arrête progressivement et les invités de la marque prennent la direction de la sortie, avec cette question, quand même : “Elle est où la prochaine fête ?” Si c’est comme ça qu’on vit en Levi’s, on veut bien signer tous les soirs.

Le plus du soir : L’ambiance, définitivement : tout le monde parle avec tout le monde et dès 21h ça danse les bras en l’air. Cool.

Le moins : “La musique est forte non ?”. “Hein, Pardon, tu veux que je te porte ?”

La rencontre du soir : La blogueuse Adenorah qui nous avoue être tombée sous le charme de Gesaffelstein au BIG Festival cet été. Mike Levy si tu nous entends…

La phrase du soir : Un garçon l’oeil pétillant : “Ok, le legging c’est sexy mais rien ne remplacera un bon 501 sur des belles fesses de filles”. Le message est passé…

L’anecdote du soir : Il paraît que l’un des barmen était particulièrement maladroit, ce qui explique le nombre de tee-shirts mouillés ce soir-là…