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Les Petits Pilous à chaud

Anthony Ferrando et Jean-Patrick Simonetti aka Les Petits Pilous mixaient samedi 22 février pour la Club Cameroscope au ParisParis. On en a profité pour rencontrer le duo électro français.

La Villa Schweppes : Où vous trouve-t-on à 21 heures ?

Les Petits Pilous : Généralement chez nous.

Et à 6 heures du matin ?

Au lit, probablement en train de dormir si on ne joue pas. Sinon, très probablement sur le chemin du retour du club, voir au breakfast d’un hôtel, le regard plus ou moins vide.

Votre dernière nuit blanche ?

On ne se souvient plus, il y a eu beaucoup de nuits courtes ! Cependant, les nuits blanches on évite au maximum. Pour durer, il faut se préserver !

Pour séduire, plutôt cocktail ou plutôt danse ?

Cocktail ! Malheureusement si on en boit trop, ça se termine vite par de la danse assez approximative qui ne séduit pas grand monde.

La pire phrase d’accroche pour séduire/technique de drague que vous ayez vue (ou vous-même pratiquée) ?

“Hi my name is ****, I’m French and I’m the cousin of the Daft Punk. Can I kiss You ?” Le plus étrange c’est que ça a failli marcher…

À quelle soirée auriez-vous adoré être invité ?

À n’importe quelle soirée au Japon ! On rêve de jouer là-bas ! Notre seule expérience avec l’Asie pour l’instant c’est plusieurs tournées en Corée du Sud. Les gens étaient extraordinaires mais on aimerait bien visiter un peu plus la zone. Beaucoup d’amis DJ’s nous on dit que c’était vraiment fou de jouer au Japon, alors on veut savoir si c’est vrai.

C’est quoi votre QG ?

Nos studios : on y passe quand même la plus grande partie de notre temps, et puis parfois on va visiter les studios des potes histoire de changer un peu.

Plutôt Rive Gauche ou Rive Droite ?

Rive Droite.

Votre Top 3 des lieux où faire la fête à Paris ? Et pourquoi ?

Nous sortons rarement, mais quand s’est le cas à Paris, on aime aller au bar Le Moonshiner pour se chauffer lentement et au Wanderlust lorsque vient le beau temps parce qu’une si grande terrasse à Paris c’est très appréciable. Après, on se déplace surtout en fonction de la programmation, on va là où la musique nous guide.

Votre meilleur souvenir de fête ?

Il y en a beaucoup ! Le dernier en date c’était à Grenoble : des gens chaleureux et un bon sound system, les conditions étaient parfaites ! On a fait de la prévention routière, perdu le fil de la soirée à quelques reprises et, surtout, on a énormément ri !

Votre meilleur acolyte pour sortir ?

Pierre Antoine Paoli dit “Ope”. Il est comme un frère et à chaque fois qu’il nous accompagne en soirée ou sur des tournées, il nous apporte une vraie fraicheur. Il arrive qu’il soit incontrôlable mais on lui pardonne tout, c’est dans sa nature.

À quel(s) DJ(s) confieriez-vous vos nuits ?

À Dave Clarke, Kerri Chandler, DJ Ez et DJ Pierre.

La chanson qui vous ferait vous lever de la banquette pour danser ?

“Woman” de Detroit Swindle. Si on entend ça on lâche tout !

Le morceau qui tourne en boucle dans vos oreilles en ce moment ?

Jean-Patrick Simonetti : “Crockett’s Theme” de Jan Hammer. Une seule chose me vient à l’esprit quand j’entends ce morceau c’est : “Si, Mi sento l’emozione”. Puis dans deux jours je passerais a un autre morceau. Je consomme la musique jusqu’à l’usure sur des périodes très courtes puis je me lasse.

Anthony Ferrando : Pour ma part c’est le remix de Flume de “You & Me” (Disclosure) : assez simple au final mais tellement efficace !

La Nuit…

La nuit arrive, tremblez !

Le nouvel EP des Petits Pilous sortira chez Paranoiak

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