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Les 5 meilleurs moments de la 12ème édition de Calvi On The Rocks

Que retient-on de ces six jours et nuits de concerts, apéros et DJ sets entre la plage Mar A Beach, le Théâtre de Verdure et autres clubs de Calvi comme L’Annexe ? Ces moments-là !

On avoue : on a bien rigolé à Calvi, et si on pouvait se téléporter de nouveau là-bas, ça serait surement pour pouvoir revivre ces cinq moments-là :

De La Soul en live au Théâtre de Verdure

25 ans. 25 ans que De La Soul n’a plus rien à nous prouver. Et pourtant, le mercredi 9 juillet au soir, les trois New-Yorkais n’ont pas hésité à braver le Théâtre de Verdure sous un temps maussade. “On est super contents d’être ici, en Corse”, lâcheront-ils même peu après le début de leur live. Résultat : après quelques minutes seulement du début de leur concert, sur “Me Myself and I”, tous les festivaliers ont les bras levés. D’ailleurs, ces derniers ne les redescendront que lorsque la pluie se mettra à tomber pour se protéger la tête… tandis que De La Soul et ses musiciens, eux, continueront à jouer. Qui sont les patrons ?

La Pool Party de Marc Jacobs sur la terrasse du Mariana

À l’occasion du festival, Marc Jacobs avait organisé une petite sauterie sur le rooftop du Mariana, l’un si ce n’est LE plus bel hôtel de Calvi. Une Pool Party sous le vent que tout le monde attendait ce soir-là, ne serait-ce que pour pouvoir frôler le bras d’Adèle Exarchopoulos (Adèle qui, soit dit en passant, passera une bonne partie de la soirée dans un canapé sous ses lunettes, trop timide, peut être). Personnellement, on s’en fichait pas mal, nos yeux étaient plutôt rivés sur la très jolie et très sympa Ana Girardot. Entre deux coupes de champagne, on discutera avec elle du live de Jabberwocky l’après-midi à Mar A Beach (on a pris le 4×4 avec elle plus tôt dans la journée pour se rendre à la plage), avant d’aller déconner avec Jillionaire et Walshy Fire de Major Lazer quelques minutes avant leur set.

L’after avec Para One à L’Annexe

Beaucoup disent que le meilleur After de cette douzième édition avait lieu lundi 7 juillet à L’Eden Club en compagnie de Konstantin Sibold. C’est peut être vrai mais nous, on ne retient que notre soirée de la veille à L’Annexe. Ce lundi, tous (et même Nicolas Jaar !) avaient décidé de prolonger la fête avec Para One. Du coup, à 3h30 du matin, le club est blindé à tel point que l’on est obligé d’ouvrir les fenêtres dans les toilettes pour respirer. Le DJ nous confiera le lendemain avoir halluciné devant cette foule de visages heureux et être reparti bras dessus, bras dessous avec les gérants de L’Annexe, ravi. Nous aussi.

Yuksek en clôture de la saison de Mar A Beach

Franchement, que serait une Villa Schweppes sans un passage de Yuksek ? Un tout petit peu moins fun, avouons-le. Parce que ok, Yuksek on l’a beaucoup vu sur scène cette année (moins en studio, on le regrette, d’ailleurs) et ça ne représente pas en soit un évènement exceptionnel mais il n’empêche : s’il y a bien un DJ capable de faire danser filles et garçons en fin d’après-midi comme s’il était 1h du matin, c’est bien lui. Lui, le producteur capable de balancer – avec l’aide de son assistant Breakbot – “La Groupie du pianiste” avant un track d’électro et de nous forcer (oui, forcer !) à faire une nuit blanche après une semaine de fêtes non stop. Cruel Yuksek.

Le BBQ de Lionel à Lumio le même soir

Certains/ certaines viendraient à Calvi uniquement pour cette private sauterie. Laquelle ? Le Barbec de Lionel (Bensemoun) chez lui, à Lumio. Notre seul consigne ce soir-là : venir dès 20h pour le coucher du soleil (la vue de la propriété du boss de La Clique est assez folle !) avec simplement “un pull et des bulles”. Sur place, l’ambiance est bon enfant : Nicolas Bedos discute avec une jolie fille (de toute évidence sa copine), Lionel tape la tchache avec Yuksek, tandis que les invités se refilent les hot-dogs comme si il s’agissait de lingots (le barbecue est à l’autre bout de la maison). Tout est (relativement) calme jusqu’à ce que des habitués du Carmen etLeAm s’emparent des platines. À ce moment-là, on saura qu’on aura beau faire un tour Chez Tao, on ne fera jamais mieux la fête qu’ici, maintenant.