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Le Smoky eyes, les yeux version nuit

Vous êtes certainement au courant, mais il est de notre devoir de le rappeler. La nuit, il fait nuit. Alors pour se faire remarquer quand on n’y voit rien, ce n’est pas facile. Les dieux du maquillage ont pensé à vous : ils ont inventé le smoky eye. Mais ils ont aussi mis de nombreuses épreuves sur votre chemin. Et ou

Vous êtes certainement au courant, mais il est de notre devoir de le rappeler. La nuit, il fait nuit. Alors pour se faire remarquer quand on n’y voit rien, ce n’est pas facile. Les dieux du maquillage ont pensé à vous : ils ont inventé le smoky eye.

Mais ils ont aussi mis de nombreuses épreuves sur votre chemin. Et oui, ce n’est pas facile à réussir, un smoky eye, et la plupart du temps, on finit par ressembler à un bébé panda. Mignon, certes, mais un bébé panda quand même. A Onvillanuit, on est ceinture noire en smoky eyes. On vous explique la technique.

D’abord, le teint. On fait disparaitre toutes les imperfections pour avoir la base la plus nette possible, histoire de ne pas ressembler à Sabrina, la gothique qui était devant vous en cours de SVT. On cache les cernes et on y va mollo sur le blush. On ne doit voir que vos yeux, pas la couche de Terracotta sur vos joues. Evitez aussi le rouge à lèvres, too much avec le smoky eyes.

Ensuite, on applique un fard crème mat sur la paupière, qui servira de base et qui fera que votre maquillage ne partira pas pendant votre discussion avec le superbe Apollon près du comptoir. On choisit ensuite sa couleur (le classique est noir, mais vous pouvez aussi choisir la version marron ou bleue marine), et on met plusieurs couches sur la paupière mobile jusqu’à l’arcade sourcillère, pour un joli effet dégradé.

Un coup de crayon noir sur la base des cils supérieurs, qui part du coup externe pour rejoindre le coin interne, on finalise avec un effet flou réalisé avec le doigt ou un pinceau estompeur, et voilà. Vous pouvez aussi, pour un effet plus vamp, faire la même chose sous les cils inférieurs. Un perfecto, un mini short, et c’est parti.

Marine Normand