Parce qu’un festival électro c’est aussi ça !
Sur le papier, un festival électro c’est une belle soirée, des gens qui dansent et une succession de sets avec son et lumière. Ce qu’on ne nous dit pas (toujours), c’est qu’un évènement de l’envergure du Blue Festival qui se tenait vendredi 10 et samedi 11 avril 2015 au Dock Pullman a demandé des mois de préparation et un travail monstre sur place.
Et oui, le Blue Festival c’est aussi, 10 arches de lumière dans la salle (photo 24), une sphère LED de 8 mètres de diamètre derrière les artistes, une quarantaine de talkies walkies (photo 10), des organisateurs fatigués mais heureux (cf photos 2, 6, 9 et 28) qui n’oublient pourtant pas de poster des photos de la soirée sur le mur de la page Facebook de l’évènement, des artistes qui photographient le public et non l’inverse (photo 22), ces mêmes artistes qui débarquent en loge avec des exigences (Sur son rider, Joren demande des… fruits secs !).
Le Blue festival c’est encore des couloirs à n’en plus finir en backstage (photo 3), une salle de repos (important la sieste en milieu de soirée) pour des bénévoles exténués (photo 45), une salle d’interview improvisée (photo 12), des photographes en action all night long (photo 16), des pompiers pas trop débordés (photo 27) – pas de drames à signaler – et, enfin, une salle qui, à 6h30 du matin, ressemble à un énorme champ de bataille (photo 1) !
