Skip to content

Laurent Garnier au Rex Club : Le parrain est toujours là !

A l’occasion de ses 25 ans, le Rex Club ouvre ses portes à Laurent Garnier pour quatre soirées d’exception. Trois sont déjà passées… Et ouais, déjà. T’étais où toi ? Nous, on s’est rendu à la troisième édition de cette série limitée à ne pas manquer. Laurent Garnier, c’est qui ? Non, non, non ! Ce n’est pas le fondat

A l’occasion de ses 25 ans, le Rex Club ouvre ses portes à Laurent Garnier pour quatre soirées d’exception. Trois sont déjà passées… Et ouais, déjà. T’étais où toi ? Nous, on s’est rendu à la troisième édition de cette série limitée à ne pas manquer.

Laurent Garnier, c’est qui ?

Non, non, non ! Ce n’est pas le fondateur de la célèbre marque de cosmétique française. Pour les enfants, ermites et autres ignares accomplis, c’est juste un des parrains de la musique électronique française, l’importateur des premières soirées consacrées à la techno au début des années 90. Le père bienveillant de tous les artistes qui font aujourd’hui encore se déhancher tout un tas de petits clubbers aguerris et stylés.

“All night long !”, un DJ set de 7 heures

A n’en pas douter, Lionel Richie aurait validé le concept. Laurent Garnier, en bon marathonien des dancefloors, est donc seul aux manettes du Rex pendant toute la nuit. C’est un habitué du lieu et de l’exercice. Pas si seul que ça non plus cependant, à voir la foule dense et toute excitée venue assister à cette session de techno puissante et fédératrice dans le temple historique de la musique électronique parisienne.

Une nuit magistrale et explosive

Le Rex est en effet plein comme un oeuf. Le maestro maintient la pression en alternant les montées sans fin et les fréquences tribales. Tout cela nous ramène aux grandes heures des raves 90’s. Les bras se lèvent et les beats plaquent violemment la foule aux murs.

Sans surprise, Laurent Garnier aura retourné un Rex totalement acquis à sa cause. Avis aux retardataires, il clôturera sa série le jeudi 9 mai avec un invité spécial annoncé comme une surprise de taille. Gardez des forces !

Une chronique de Monsieur B