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La nouvelle collection de Rupture habille les ravers pour l’hiver

Après une collection printemps-été inspirée de l’univers des raves en warehouse, Rupture lève le rideau sur ses nouvelles pièces pour la prochaine saison et rend hommage aux soirées underground parisiennes. Affronter le froid et raver jusqu’au bout de la nuit ? Oui, mais avec classe.

On le sait tous : s’habiller pour sortir en soirée durant la période estivale est résolument plus simple qu’en hiver. Une couche de vêtements suffit en général, la plus légère soit-elle. En revanche, c’est un véritable casse-tête lorsque les températures descendent en dessous de 10°C. On a tantôt trop chaud lorsqu’on affronte la fournaise du dancefloor, ou tantôt trop froid lorsqu’on s’octroie une pause en extérieur ou qu’on est sur le retour après une longue nuit de folies. Comment s’habiller de façon la plus optimale possible ? Et, surtout, comment rester stylé.e malgré tout ? C’est le moment de se tourner vers Rupture.

Un vestiaire urbain et provoquant

Depuis 2017, la marque parisienne propose un vestiaire urbain et provoquant, directement inspiré de la culture techno et underground. Alors qu’elle mettait en avant l’univers industriel des soirées en warehouse avec sa collection printemps-été, ce mois-ci, la marque dévoile une nouvelle collection automne-hiver à l’effigie des soirées parisiennes alternatives, marginales (voire illégales). Grosso modo, Rupture se charge d’habiller les teufeurs pour aller faire la fête dans le froid.

On retrouve ainsi des silhouettes urbaines, accompagnées de hoodies, t-shirts, casquettes et sacs banane affublés de couleurs sombres représentant la nuit, et contrastés par différents imprimés et logos provocateurs pleinement assumés. Designs rétros, coupes oversize, tissus réfléchissants, effets glitch… Tout y est pour faire de ces pièces aux textiles made in France des incontournables du vestiaire des ravers.

Les vêtements de cette nouvelle collection sont déjà disponibles sur le site internet de Rupture. Les prix varient entre 40 et 110 euros.

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RAVE IN A PARKING

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