Qu’on ne s’y trompe pas : malgré une imagerie assez dark, Keluar fait partie des plus belles révélations électro de la rentrée. Le 20 septembre, les synthés se gonfleront, sublimes, les boîtes à rythmes se déclencheront, la chanteuse Alison Lewis commencera et nous, nous serons prêts à nous régaler à la Mécanique Ondul
Qu’on ne s’y trompe pas : malgré une imagerie assez dark, Keluar fait partie des plus belles révélations électro de la rentrée. Le 20 septembre, les synthés se gonfleront, sublimes, les boîtes à rythmes se déclencheront, la chanteuse Alison Lewis commencera et nous, nous serons prêts à nous régaler à la Mécanique Ondulatoire.
Dans ces univers éthérés et électroniques, les morceaux de Keluar scintillent comme la lumière d’un phare dans la brume. Tout récemment signés sur l’excellent label Desire Records, le duo devrait pondre l’un des EPs les plus étonnants et jouissifs de l’année. Ils ont le talent de produire des basslines ultra solides, presque acides, et d’imaginer des leads qui virevoltent aux quatre coins des oreilles.
Si les corbeaux ne vous font pas peur, il ne faudra pas hésiter à descendre danser à la Mecanique Ondulatoire le 20 Septembre. Comme souvent, les milieux goths recèlent de perles électroniques qui ne sont jamais très loin de Rebotini ou Gesaffelstein, tout en offrant des mélodies sensibles, touchant droit au coeur. C’est le cas de Keluar.
