A seulement 24 ans, Jordan Henrion est consultant en stratégie influencers pour des marques de luxe dans une agence à Paris. Un “Influencer” qui n’oublie pas de faire aussi la fête.
La Villa Schweppes : Où te trouve-t-on à 21 heures ?
Jordan Henrion : Autour d’un verre avec des amis, au Petit Matieu le jeudi, au Progrès quand la terrasse n’est pas bondée ou encore au Floreal.
Et à 6 heures du matin ?
JH : Au pire des cas dans mon lit.
Ta dernière nuit blanche ?
JH : Vendredi soir. Je venais de rater mon vol pour Londres et il fallait que je me change les idées. La fête est venue à nous par hasard. J’ai été dans une soirée très sympa dans un studio de création avec de la bonne musique et mes meilleurs potes.
Que trouve-t-on en général dans ton sac/ tes affaires quand tu sors ?
JH : Mon portable, ma carte bleue et mes clefs. Je voyage léger.
Que dirais ou ferais-tu la nuit que tu n’oserais pas dire ou faire le jour ?
JH : Des tas de choses ! Je ne suis plus la même personne la nuit !
La pire phrase d’accroche pour séduire/technique de drague que tu ais vue (ou toi-même pratiquée) ?
JH : Si seulement j’avais un exemple à donner ! Les gens ne draguent plus à Paris…
Ton meilleur souvenir de fête ?
JH : Mes 21 ans, dans notre coloc’ à Paris : une soirée inoubliable qu’on a partagé avec la police, les pompiers et un inconnu qu’on a surnommé Jésus. On en parle souvent avec mes amis, c’est devenu notre soirée de référence : quand on fait pire que ce soir-là, c’est qu’on est vraiment allé trop loin (rire).
Ta soirée idéale ?
JH : Pour moi il n’y a pas de soirée idéale. Ce sont souvent celles qui ne payent pas de mine qui sont les meilleures !
À quel(s) DJ(s) confierais-tu ta nuit ?
JH : À Digitalism.
Quel est ta “killer track” qui fonctionne à tous les coups ?
JH : “Ignition” de R. Kelly. Ça prend à tous les coups.
La chose que l’on ne sait pas sur toi ?
JH : En soirée, j’ai toujours été perturbé par la lumière des stroboscopes. C’est étrange mais je trouve ça à la fois anxiogène et excitant.
La Nuit…
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