Eugène Eugène : 200 m² de terrasse/jardin où prendre un verre et dîner

À Puteaux, un bar/restaurant a ouvert. Son nom ? Eugène Eugène, un espace immense avec jardin et terrasse couverte et chauffée où siroter un cocktail et manger un bout.

“Nous avons pensé cette brasserie comme un lieu de vie ouvert à tous, à tout moment. Un café avant d’aller travailler, un déjeuner entre collègues, entre amis ou seul en lisant le journal, un thé l’après-midi ou quelques heures studieuses derrière son ordinateur, un cocktail avant de rester dîner ou un souper en sortant du théâtre, tout est possible”, analyse Héléna Paraboschi, propriétaire et conceptrice d’Eugène Eugène.

Un gros challenge qui a été facilité par le lieu en lui-même : une immense halle de 300 m² située en face du marché municipal, à côté d’un jardin public de Puteaux. Ce grand espace a donc été transformé en bar/restaurant par les architectes d’intérieur du Studio Ko. Ces derniers ont crée des espaces distincts autour d’un bar en marbre vert (et réalisé sur-mesure) central. Pas de design ultramoderne mis à part les ventilateurs géants, les lampes industrielles et les palettes de stockage pour séparer les différents coins. Ici, on est comme dans une maison avec du parquet, des rideaux en perles de bois, des coussins… mais aussi des plantes dignes de n’importe quelle serre du 19ème siècle. La végétation représente une part importante du cadre de ce Eugène Eugène. D’ailleurs, on trouve même ici un jardin avec terrasse couverte de 200 m² !

DR Eugène Eugène

C’est là qu’on vient boire un verre jusqu’à tard le soir (été comme hiver vu que le spot est chauffé) et entre les palmiers, les lauriers, la sauge et le romarin. Au choix : des classiques (Bellini, Moscow Mule), quelques variations de Gin Tonic et Mojitos, mais aussi des créations maison comme le “Orangette” (gin, kalhua, eau de vie de framboise et liqueur de chocolat), ou encore le “Tatin” (vodka, fraise, airelles, pamplemousse et caramel), le “Brûlant” (rhum flambé, Cointreau, citron, orgeat et orange) et le sans alcool “Délice” (cerise, goyave, miel et pêche). À siroter sur de confortables fauteuils en rotin avant et près le dîner.

Côté carte, justement, le Chef Jérémy Mathieu a imaginé essentiellement des plats-souvenirs (de tablées familiales). Comprendre : des coquillettes au jambon et Beaufort, un coquelet fermier entier rôti, ou encore une pièce de boeuf de Salers à partager et une mousse au chocolat “Grand-Mère”. Encore un clin d’oeil à l’esprit maison qui règne ici et qui devrait, on en est sûrs, vous faire sortir de chez vous…

À ne pas manquer : l’offre de food pairing “Cristalisation de l’alcool”. Des plats/boissons comme le whisky givré et ses brochettes de saumon fumé, ou encore le Cognac et ses dés de foie gras et compotée de pommes et poires. Comptez tout de même 20 euros le “plat”.