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Croire en dEUS avec Alan Gevaert

Au programme du deuxième jour de Rock en Seine : dEUS. Le groupe de rock belge culte a donné un concert explosif sur la grande scène du festival. Un privilège pour les milliers de festivaliers venus les acclamer. Pourquoi ? La réponse dans l’interview d’Alan Gevaert, bassiste du groupe, réalisée par Marine Scherer pour

Au programme du deuxième jour de Rock en Seine : dEUS. Le groupe de rock belge culte a donné un concert explosif sur la grande scène du festival. Un privilège pour les milliers de festivaliers venus les acclamer. Pourquoi ? La réponse dans l’interview d’Alan Gevaert, bassiste du groupe, réalisée par Marine Scherer pour OnVillaNuit.

Vous allez essayer de chauffer le public même si il est tôt ?

Oui j’espère, mais 18h c’est un peu tôt pour du rock (rires)

Est-ce que vous aimez les festivals ?

C’est la première fois que l’on fait Rock en Seine. Dans les festivals, l’intimité est différente, il y a beaucoup plus de monde. Mais je dois avouer que je préfère jouer dans des salles. Cette fois-ci est un peu spéciale puisque c’est notre dernière date avant notre break. Nous allons nous laisser un an pour réfléchir à d’autres projets, nous enrichir pour le groupe.

Où pouvons-nous vous trouver à partir de 21 heures ?

Si il fait beau, je suis à Anvers à prendre l’apéro à une terrasse.

Votre soirée idéale ?

Je sors très peu. Les clubs, à mon âge, ça ne me dit plus rien. Avec ma bande d’amis, on commence toujours nos soirées par un restaurant ou un bar. Pour la suite, on improvise.

Une ville dans laquelle vous aimez sortir ?

J’adore les grandes villes comme Paris et Anvers. J’ai beaucoup fait la fête à New York aussi car j’y ai vécu.

Quel est votre poison ?

Moi c’est la clope… c’est horrible.

Quels artistes aimeriez-vous voir aujourd’hui à Rock en Seine ?

J’aimerais voir Ume mais avec notre concert c’est assez difficile. On a pas trop le temps de vadrouiller, il faut répéter et s’organiser. On est pas tranquilles !

Votre coup de coeur musical du moment ?

J’écoute beaucoup de blues malien. Ça me calme (rires)

Leur site : deus.be

Propos recueillis par Marine Scherer, mis en forme par Mathilde Kichenama – Photographie Laurent Galant

Merci à Isabelle Champigneulle.