Voici Tanya et Julien, nos deux anonymes (plus pour longtemps) rencontrés au Showcase de Naïve New Beaters, mercredi 18 juillet à l’Hôtel W. Elle a 24 ans et est étudiante, il a 29 ans et est journaliste et ils adorent faire la fête ! Pour OnVillaNuit, ils se sont livrés à notre petit jeu de questions 100% teuf. Qu’att
Voici Tanya et Julien, nos deux anonymes (plus pour longtemps) rencontrés au Showcase de Naïve New Beaters, mercredi 18 juillet à l’Hôtel W. Elle a 24 ans et est étudiante, il a 29 ans et est journaliste et ils adorent faire la fête ! Pour OnVillaNuit, ils se sont livrés à notre petit jeu de questions 100% teuf.
Qu’attendez-vous de cette soirée ?
De l’explosion, du déjanté, de l’original (plutôt bien parti avec cet aftershow dans une suite d’hôtel). Qu’en rentrant, on se dise juste : “WHAOUUUU !”
Quel est votre “poison” ?
La vodka cranberry
Auto ou moto ?
En scooter tous les 2, l’un derrière l’autre
L’acolyte d’une bonne soirée ?
J: Un bon photographe –
T: Lui !
Vos bonnes adresses ?
Pour manger : “Lo sushi”, rue de Ponthieu dans le 8ème. Pour sortir : “Le Carmen” à Pigalle et pour les concerts : “Le Trianon”
Votre soirée fantasme ?
On serait sur le toit de la Tour Montparnasse, avec en line-up Sébastien Tellier, Afrojack et Major lazer. Un vrai open-bar de vodka à disposition, sans aucune queue pour y accéder. Les convives seraient tous des gens décalés et plein de potions magiques différentes seraient distribuées !
Où (à part Paris) ?
Los Angeles et Cracovie, on y va même en hiver quand il fait – 20 ° C et ça reste toujours génial !
Le clubber idéal ?
J: C’est celui qui arrive les mains dans les poches, mais toujours souriant, agréable. Il aime vraiment les gens, veut partager avec les autres.
T: Ce serait Nicky Larson, j’ai toujours rêvé de le croiser en soirée !
Votre playlist du moment ?
Hot Chip, le remix de Major Lazer “Look at where we are”
DENA “Cash, Diamond rings, Swimming pools”
Coconut records “West coast”
Die antwoord “Baby’s on fire
Para one “Lean on me”
Propos recueillis à l’Hôtel W par Monsieur B
