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Chronique on the Rock !

By Marine Normand
26 Août 2012

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

C'est ce qu'on appelle un samedi qui en envoie !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

Il y avait du monde samedi à Rock en Seine !

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Chronique on the Rock !

Des festivaliers éreintés après cette folle journée !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

La pelouse de Rock en Seine, un endroit où on se sent bien.

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Chronique on the Rock !

Du monde devant chaque concert !

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Chronique on the Rock !

Petit break entre deux concerts...

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Chronique on the Rock !

Le Domaine de Saint Cloud, un gigantesque espace à découvrir tout au long de ses trois jours !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

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SoMe, spotté samedi à Rock en Seine !

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Chronique on the Rock !

Quelque fois, on ne sait pas trop à quoi on assiste...La scène est loin, quand même.

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

Que du bon son à Rock en Seine !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

Après quelques heures debout, on est souvent éreintés en fin de journée...On se pose pour profiter des derniers concerts !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

Marée humaine à Rock en Seine !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

Le Domaine de Saint Cloud prend une autre lumière quand la nuit tombe...

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

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L'exposition d'affiches Rock pendant le festival : chaque artiste à la sienne !

Un samedi à Rock en Seine, la chronique de Monsieur B. @DR, Valentin le Cron

Chronique on the Rock !

La nuit, tous les chats sont gris... les festivaliers aussi !

Après Calvi on the Rocks , au tour de Rock en Seine pour un été 2012 décidément placé sous le signe du dur, du lourd, du balèze. C'est les 10 piges du festival que certains présentent depuis quelques années comme LE festival de rock français (n'en déplaise aux Vieilles Charrues et aux Eurockéennes). La mine bronzée, le

Après Calvi on the Rocks , au tour de Rock en Seine pour un été 2012 décidément placé sous le signe du dur, du lourd, du balèze. C'est les 10 piges du festival que certains présentent depuis quelques années comme LE festival de rock français (n'en déplaise aux Vieilles Charrues et aux Eurockéennes). La mine bronzée, le corps et l'esprit reposé, le festivalier moyen revenant de vacances semble paré pour une nouvelle belle journée de fin d'été. Alors on replie majeur et annulaire, on tend index et auriculaire et c'est parti !

Le ciel semble cependant se tâter. Tout comme les festivaliers d'ailleurs. Quatre scènes en simultané, c'est presque trop. L'objectif est donc de laisser jouer son don naturel d'ubiquité et de se démultiplier. La basket affutée, lustrée et épargnée par la boue, car c'est le beau temps qui sera finalement de la partie.

On attaque ainsi dès 15h avec les islandais d'Of Monsters and Men qui ouvrent le bal avec brio devant un public pourtant à jeun et mal réveillé. Un petit tour chez les normands de Granville, trois garçons et une fille plein d'avenir à la pop récréative. Hyphen Hyphen constitue ensuite une des révélations du festival avec un set chargé d'électricité. On révise un peu aussi nos classiques avec Caravan Palace (très bien), dEUS (moins bien) et Noel Gallagher (sans commentaire).

Véloces comme on est, on trouve même le temps de profiter des multiples attractions proposées par l'organisation : fête foraine vintage, spectacles de cirque, grande roue, ... tout y passe. Du coup, on rate quand même The Bewitched Hands, Ed Sheeran, Temper Trap ou encore Eagles of Death Metal. Ouais, quand même. A la buvette, comme dans tout bon festival qui se respecte, la "Cirrhose Cup" bat son plein. Bien placés sur la ligne de départ, on abandonne cependant la course dès les premiers virages, attirés comme des papillons de nuit par les lumières de la grande scène où commence le show des Black Keys. Les riffs cognent et la prestation brute de l'une des plus grosses têtes d'affiche du festival ne déçoit pas. Agoria met fin aux hostilités avec une touche électro bienvenue au milieu de toutes ces guitares saturées. Enfin, retour aux stands bien mérité, car dimanche, après la messe, ça continue !

Monsieur B.

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