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Chronique : la troisième édition du Macki Music Festival

Trois ans déjà que le Macki propage son ADN festif dans Paris et ses alentours. Après une seconde édition déjà réussie en septembre dernier, le collectif avait a coeur de faire mieux cette année. Samedi, nous y étions ; on vous raconte tout ça !

Pour la troisième année consécutive, Carrières-sur-Seine accueillait le Macki Music Festival. Cette année encore, la programmation était à la hauteur (Acid Arab, Agar Agar, François & The Atlas Mountains, Jacques ou encore Papooz…) et les animations, diverses. Lors de cette édition, l’organisation du parc a été revue : l’Ovni n’a pas bougé mais le Camion Bazar s’est délocalisé : il est derrière celle-ci. À sa place, c’est une nouvelle, plus petite scène qui fait son apparition et qui accueillera, entre autres, le crew Discomatin, Mad Rey, Linkwood, ou encore Bonnie Banane.

Musiques et animations de 7 à 77 ans (ou presque)

C’est le soleil qui accueillera le public du festival pour cette première après-midi, samedi, dans le parc de la Mairie de Carrières. Comme l’an passé, de nombreuses animations ont été prévues pour divertir la foule et, toujours comme l’an dernier, on est à la pointe de la technologie : un stand de réalité virtuelle est mis en place et nombreux sont les curieux à vouloir essayer ces lunettes du futur. De l’autre côté du parc, on peut tester son équilibre avec Surfrider, venu sensibiliser la population du festival de façon ludique, ou alors se mettre à la sculpture, après avoir composé un morceau avec ses pieds. D’ailleurs, plus que l’année dernière encore, le festival est ouvert à toute la famille. Il n’était donc pas rare de croiser des enfants et des poussettes !

Le public a répondu présent et a montré – s’il fallait encore le faire – que la musique électronique est plus que jamais une fête, même si elle ne s’écoute pas dans Paris… Pour info, on vous a concocté une galerie de visages, à découvrir très vite !

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival...

Les mille et un visages du Macki Festival…

Les mille et un visages du Macki Festival... (Agar Agar)

Les mille et un visages du Macki Festival… (Agar Agar)

L’organisation a, cette année encore, tenu à respecter le lieu : un petit peu partout dans le parc, urnes à mégots sont mise en place. Elles permettent par exemple d’élire le meilleur film entre E.T. et Mars Attack et on peut dire que c’est le genre d’initiatives que l’on aimerait voir déclinées à plus grande échelle… Mais, bien entendu, ce que l’on attendait ce week-end, plus que tout, c’était la musique ! On n’a pas été déçus : les grands noms comme les plus petits ont tous livré des performances mémorables.

On pense, par exemple, à Agar Agar, ou encore à Discomatin et Mad Rey qui ont tous, malgré les grosses averses de samedi après-midi, fait danser le public de Carrières. Le Camion Bazar, également, a su à nouveau faire du Macki sa demeure, pour le plus grand bonheur des festivaliers. Acid Arab qui clôturait la journée de samedi a également fait danser la foule sur ses plus gros classiques et sur quelques inédits (inédits qui figureront sur leur album prévu pour le mois d’octobre prochain). Et puis, les fêtards du dimanche n’étaient pas en reste vu que Jacques, Papooz, Harvey Sutherland et consors n’ont pas fait dans la dentelle, paraît-il.

Le plus de la journée : Décidément, édition après édition, on retrouve cet ADN Macki Music qui plaît tant.

Le moins de la journée : Un temps par moment calamiteux…

L’anecdote de la journée : On a bien aimé se balader au milieu des moutons !

La citation de la journée : “Le set que j’attends le plus ? C’est demain à 21h, il s’appelle ‘France – Islande’.”