Samedi 2 décembre, ouvrait enfin l’un des nouveaux clubs les plus attendus de cette fin d’année à Paris : le T7 ou Terminal 7. Evidemment, on y était et on vous raconte ce qu’on a retenu de cette fête.
C’était l’une des ouvertures les plus attendues de cette fin d’année ! Quelques semaines après une inauguration privée de la salle événementielle remplaçant Electric, le club T7 ou Terminal 7 se dévoilait au public pour une première soirée club ce samedi 2 décembre. On vous raconte ce qu’on retient de cette “Hungry Music Party” avec Worakls, Stereoclip et Will Spleen.
Pour y accéder, c’est toujours un peu un voyage
On se souvient encore de tous les escalators qu’il fallait emprunter pour pénétrer dans Electric. L’entrée du nouveau T7 se fait, elle, au numéro 32 de la rue Marcel Yol à Vanves. Après avoir dit coucou aux vigiles, on doit suivre un long chemin en extérieur pour nous retrouver enfin sur le rooftop. Il ne s’agit que quelques minutes de marche sur ce qui peut ressembler un peu à une piste de décollage (d”où le nom “Terminal 7”, on suppose) mais le temps de trajet nous permet de nous mettre bien dans l’ambiance. Le décor est posé, comme on dit.
L’arrivée au T7
L’arrivée au T7 – Photo 2
L’arrivée au T7 – Photo 3
L’arrivée au T7 – Photo 4
Oui, ce T7 est assez impressionnant
Un espace de 1000 m², 400 m² de terrasse avec vue panoramique sur la Tour Eiffel, un jardin végétalisé et une nouvelle architecture intérieure arborant des ramifications lumineuses revêtues de néons : oui, ce T7 est, à première vue, aussi beau et impressionnant que sur les premières photos partagées sur la page Facebook du club. On valide.
L’intérieur du club T7
C’est grand, on a pu “respirer”
On vous le confesse : avant d’arriver, on avait un peu peur de nous retrouver, sur les coups d’1h30/2h à mourir de chaud dans la foule (la capacité est de 1 200 personnes). Heureusement, grâce à la configuration de la salle, on a pu se trouver des coins où nous reposer par moment (on pense notamment à la terrasse bien plus agréable comme fumoir qu’une salle fermée toute sombre et envahit de fumée). Mieux : la présence de plusieurs bars dans différents parties du club nous a permis de ne pas attendre plus de 5 minutes avant de pouvoir nous commander un Gin Tonic. Merci !
Le fond de la salle du club T7
Le meilleur dancefloor n’était pas celui qu’on croyait
En l’occurrence, il s’agissait de la piste située devant deux des bars, au fond de la salle. Quand on a aperçu ce couple en plein remake de Dirty Dancing, on s’est dit que les équipes au service des boissons ont pu aussi profiter du spectacle d’une certaine manière…
Ce couple en plein remake de Dirty Dancing
On a vu une fille faire la roue
On ne sait pas pourquoi mais c’était suffisamment étonnant pour le partager avec vous aujourd’hui.
… et cette fille qui improvise une roue
… et trois Pères Noël dont un cuisinier (!)
Un 2 décembre, pas si étonnant, il faut le dire. Et on va y avoir le droit pendant encore pendant 20 bons jours.
Les trois Pères Noël
Musicalement, on a eu le droit à du classique Hungry Music
La team Hungry Music formée pat Worakls, N’to, Joachim Pastor et Stereoclip ont un style musical très reconnaissable. Ces producteurs font ce qu’on appelle de la musique électronique de synthèse, assez proche d’une tech house à la française, dirait-on. C’est exactement ce dont on a eu le droit ce samedi pour votre plus grand plaisir, apparemment, vu le nombre de bras levés en fin de chaque set. Pourtant nous, on vous le confesse, on est quand même plus excités encore à l’idée d’écouter la Suissesse Sonja Moonear et les frenchies Apollonia et Marwan Sabb le 29 décembre, lors de la fête Insomnia… On vous y retrouve ?
Raphaël Ricq / Jay Call lors de l’ouverture du club T7
Stereoclip lors de l’ouverture du club T7
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La page Facebook du club T7L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.
