Après une longue et harassante journée de travail, quoi de mieux qu’un afterwork dans un des plus jolis clubs de Paris pour une soirée détente by Kitsuné ?
Hier soir à 19h, Les Bains et l’équipe Kitsuné accueillaient au 7 de la rue du Bourg l’Abbé la troisième édition de ce qui risque fort d’être un rendez-vous incontournables des folles semaines parisiennes, à savoir : l’Afterwork Kitsuné. Cette fois-ci, la maison faisait jouer Jono Ma, Parcels et Fhin & Blakey. Et le tout, en live, s’il vous plait…
À notre arrivée dans le sombre club très privé, on est d’abord surpris par le calme qui s’y trouve. C’est en descendant l’escalier et en ouvrant les portes, une fois en bas, que l’on se rend compte de l’agitation qui règne dans ce lieu. La piste est déjà bondée et il est à peine 20h. C’est l’australien de Jagwar Ma, Jono Ma qui fait vibrer le jeune public parisien sur sa dance exotique. Du côté du bain, on sirote des cocktails en se racontant sa journée de bureau, alors que pour les bartenders du lieu, la soirée ne fait que débuter.
C’est une habitude pour Kitsuné de porter la plus grande attention aux détails aussi petits soient-ils, et encore une fois, le label vestimentaire et musical a soigné son public. Les masques de renard distribués à l’entrée en sont d’ailleurs des témoignages parlants, chacun veut repartir avec son totem et tout le monde l’arbord fièrement en se déhanchant sur la pop électronique des germano-australiens de Parcels. Le groupe mènera d’ailleurs une prestation live de très bonne facture, le parterre de parisiens semble grandement apprécier ce set, qui débordera d’ailleurs de quelques morceaux sur celui de leurs succésseurs que sont Fhin & Blakey.

Chronique : l’Afterwork Kitsuné aux Bains

Chronique : l’Afterwork Kitsuné aux Bains

Chronique : l’Afterwork Kitsuné aux Bains
Si on en croit les dires de quelques habitués croisés ce soir, la maison sait surprendre ses fidèles. Après une seconde éditon en plein air sur les toits de la cité de la mode et du design, le label a choisi de se recloitre dans l’un des lieux les plus chics et intrigants du Marais.
Dans l’ensemble, on doit bien l’avouer, on a grandement apprécié cette récréation qui permet de rentrer chez soi épuisé non pas par le travail, mais par les pas de danse distillés sur le dancefloor. Une bonne nuit de sommeil en perspective… Pour ceux qui n’ont pas eu le courage d’enchainer par la suite, on veut dire.
Le plus de la soirée : La musique, le lieu, et l’identité de la marque et du label que l’on retrouve comme toujours.
Le moins de la soirée : Peut-être bien le manque de lumière…
L’anecdote de la soirée : On sait maintenant dire “bain” en japonais. Prononcez : “Yo-ku”.
La phrase de la soirée : On a entendu un jeune homme dire à sa copine : “Chipeur, arrête de chiper…”.