Deux poids lourds du 7ème art, Roman Polanski et Jim Jarmusch, ont bouclé samedi la compétition du 66e Festival de Cannes. Clap de fin également du côté des fêtes cannoises. Dernière occasion de se parer de ses tenues de gala et sorties obligatoires, malgré la fatigue.
Deux poids lourds du 7ème art, Roman Polanski et Jim Jarmusch, ont bouclé samedi la compétition du 66e Festival de Cannes. Clap de fin également du côté des fêtes cannoises. Dernière occasion de se parer de ses tenues de gala et sorties obligatoires, malgré la fatigue.
Clôture festive à la Villa Schweppes
Dernière tournée générale de DJ’s hier après-midi à la Villa Schweppes : Cédric Couvez, Greg Boust, Peter Pan, Polocorp, Naughty J, Victor Aime, Anja, Leam, … C’est simple tous ceux venus apporter leur contribution à un moment quelconque du festival étaient là pour une dernière session festive, conviviale et ensoleillée. Un beau moment. Les festivaliers les plus chanceux ont pu profiter du code VILLASCHWEPPES et arriver à la Villa en voitures UBER, spécialement délocalisées à Cannes pour le Festival.
A 19 heures quand les portes de la Villa se sont définitivement refermées sur cette édition 2013, certains, l’air hagards et abattus, ne semblaient pas vouloir y croire : ” Hey, t’es vraiment sûr que c’est pas ouvert demain ? “.
Dernière nuit cannoise
La nuit venue, alors que tout le monde retenait encore son souffle dans l’attente du palmarès, on a réalisé notre tournée spéciale Cannes à nous, avec les principaux endroits nocturnes appréciés pendant cette quinzaine : Coco Loco, Silencio, Baron, Baronne…
C’est donc la larme à l’oeil et le coeur emplit de nostalgie que l’on abandonne la Croisette, avec pour principal objectif une vraie nuit et son forfait dix heures de sommeil inclut. Rendez-vous du 5 au 10 juillet prochain pour le festival Calvi on the Rocks où la Villa Schweppes prendra ses quartiers d’été. On vous promet une nouvelle fois d’y trouver une programmation musicale exceptionnelle et de qualité. D’ici là, souvenez-vous : la vie est courte mais heureusement les nuits sont longues !
Une chronique de Monsieur B
