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Calvi On The Rocks Jour 2 : Sea, pop and sun

Le festival célèbre cette année son adolescence, un âge synonyme de fête, d’insouciance et de siestes (musicales) au soleil. Mise en pratique sur Mar a Beach, la plage Schweppes où tout le monde se retrouve. Histoire de prendre quelques forces avant une nuit qui s’annonce longue et belle. Le soleil brille sur la citade

Le festival célèbre cette année son adolescence, un âge synonyme de fête, d’insouciance et de siestes (musicales) au soleil. Mise en pratique sur Mar a Beach, la plage Schweppes où tout le monde se retrouve. Histoire de prendre quelques forces avant une nuit qui s’annonce longue et belle.

La dolce vita à Mar a Beach

La question qui taraude le festivalier en ce début de journée : où caser une petite sieste électronique au coeur de ce programme de fou ? Réponse toute trouvée : direction Mar à Beach, la plage Schweppes pour chiller tranquille et se remettre de ses émotions de la veille. Située dans une crique isolée, en pleine nature, accessible uniquement par bateau, Mar a Beach constitue une fois encore le lieu parfait pour se régénérer tout en profitant de sets musicaux exceptionnels. Côté son justement, cet après-midi c’est Hypnolove qui nous offre un live pop et disco déjanté. Soleil au zénith, oreilles qui crépitent.

Programme nocturne chargé

La nuit, tous les dix mètres à Calvi, tu vois plein de têtes que tu connais et qui te sourient. Les coups de soleil sur le nez et l’attitude décontractée en plus. Certains prétendent que le festival entretiendrait des liens étroits avec la nuit parisienne branchée. Au théâtre de Verdure, le premier artiste à nous délivrer une dose d’amour et de bonheur est Tahiti Boy. Un patronyme bien adapté à l’ambiance généralisée. Midnigtht Magic enchaîne : ” Beam me up, beam me up, beam me up “, ça vous dit quelque chose ? Gramme ensuite, et son tube ” Too high to dance “. Pas besoin de traduire, ni de préciser que ça colle là encore parfaitement avec l’atmosphère du moment. Black Strobe d’Arnaud Rebotini nous impressionne enfin en clôture des concerts. Comment a-t-on pu passer à côté de ce groupe qui existe depuis 1997 ? Mystère. Un samedi de juillet à Calvi, pendant le festival, la nuit se prolonge indéfiniment. Tard, très tard, Breakbot joue encore sur le port au golf de la Taverne, pendant que Chez Tao, toujours surblindé, le jour se lève. Un type à l’air illuminé m’interpelle : ” Il est où l’after d’après ? “.

Une Chronique de Monsieur B.