Astropolis 2013 : Nina Kraviz, Woodkid, Kavinsky au programme

Du 4 au 7 juillet 2013 se tiendra la dix-neuvième édition d’Astropolis, l’un des festivals les plus pertinents et hétéroclite en matière de musique. Vous allez voir, les noms que nous nous apprêtons à vous donner vont vous épater. Prêt à investir Brest début juillet ? Astropolis est une de ces manifestations qui met t

Du 4 au 7 juillet 2013 se tiendra la dix-neuvième édition d’Astropolis, l’un des festivals les plus pertinents et hétéroclite en matière de musique. Vous allez voir, les noms que nous nous apprêtons à vous donner vont vous épater. Prêt à investir Brest début juillet ?

Astropolis est une de ces manifestations qui met tout le monde d’accord. N’ayant pas peur de mixer toutes les populations d’amateurs de musique électronique, elle célèbre à chaque fois avec goût les beats les plus savoureux du moment. De la techno la plus minimale à de l’électro rassembleuse, il y en aura pour tout le monde, du moment qu’on aime le synthétique.

Vous avez besoin d’exemple ? Pour cette (déjà) dix-neuvième édition, la programmation (imaginée notamment par Matthieu Guerre-Berthelot) mixe nouveaux talents et plus grandes sensations du moment. Vous ne pourrez donc pas passer à côté de Woodkid, le 4 juillet à la Carène, ou encore de Kavinsky le 5 juillet au Bunker Palace. La cerise sur le gâteau sera néanmoins la nuit de clôture. Pour sa dernière soirée, et dans le désordre, Astropolis nous confirme la présence de Gesaffelstein (qui aura d’ici-là testé l’efficacité de son live à la Cigale) et d’Agoria. Mais ce n’est pas tout. La très belle Nina Kraviz, nouveau fer de lance d’une techno froide et sensuelle, sera elle aussi derrière les platines, tout comme les Pachanga Boys , qui avaient mis tout le monde d’accord au Black Weekend. Sebastian de la team Ed Banger sera aussi présent, tout comme Manu le Malin, et beaucoup d’autres (à découvrir dans le diaporama) qui envouteront trois de vos nuits d’été…

Après, vous pouvez toujours prononcer des trucs comme “pff, mais il se passe jamais rien en France” ou encore “Non mais c’est fini, faut aller à Berlin maintenant“. Mais sachez qu’on ne vous suivra pas sur ce chemin-là. On ira plutôt à Astropolis !

Marine Normand