Quels sont les jeunes gens qui font bouger la nuit à Paris ? Au fil de nos aventures et de nos nuits blanches, on vous a sélectionné 30 personnalités que vous avez forcément croisées…
Adrien et Anthony Maselli du Fourbi
Pourquoi ? Difficile de passer à côté des jumeaux Adrien et Anthony. RP, ils sont aussi DJs, organisent de nombreuses soirées et s’occupent du bar à cocktails Le Fourbi. Si vous êtes des habitués des nuits parisiennes, vous vous êtes forcément confrontés à ces deux beaux jeunes hommes…
Anne Claire Gallet
Pourquoi ? Non contente d’organiser les Flash Cocotte, les Trou Aux Biches, les [Magie Noire] et les Pacific, Anne Claire Gallet met aussi les foules en sueur en passant derrière les platines en tant que Dactylo. Queen D ?
Anton Muller
Pourquoi ? D’une part, le garçon a monté le très actif label Class84, de l’autre, il a ouvert la déjà légendaire Petite Taverne à Pigalle. Bref, on finit toujours pas tomber sur lui quand on cherche une bonne soirée.
Anthony Ferrat
Pourquoi ? Parce que gérer la programmation du Social Club, c’est déjà faire la nuit à Paris. Dénicheur de collectifs talentueux, ses choix artistiques sont souvent imparables, ce qui fait que le club est à la fois populaire et musicalement au top. Précieux.
Anthony Martin
Pourquoi ? C’est l’attaché de presse que toute la nuit parisienne connaît. On le connait de par ses nombreux projets, passant du ChaCha à L’Arc, ou encore au Renard. Anthony Martin a toujours un nouveau club dont il a le secret…
Aymeric Bergada du Cadet et tout House of Drama
Pourquoi ? Performer au sein du collectif complètement excentrique et extravagant House of Drama, Aymeric Bergada du Cadet est aussi un costumier de génie, qui a notamment oeuvré sur le clip “Les Huitres” de Mai Lan. Une troupe haute en couleurs qui amène ce grain de folie dont les soirées parisiennes ont bien besoin…
AZF & Parfait
Pourquoi ? C’est Teki Latex qui le dit : Les Stéréotypes sont les soirées les plus excitantes à Paris en ce moment. Ses organisatrices et résidentes, AZF & Parfait, aiment quand la techno se joue franche, puissante et rythmique. Une véritable explosion nucléaire.
Brice de la Concrete
Pourquoi ? Il a réussi avec son collectif Surprize à réveiller les dimanches après midi et à faire passer des afters de folie aux noctambules. Aujourd’hui, ils organisent aussi le Weather Festival, et la Concrete a aussi obtenu une licence de nuit… L’année 2014 s’annonce très chargée !
Clément Léon
Pourquoi ? On ne sait pas encore vraiment à quoi sert le Maire de la Nuit, mais Clément Léon a du pain sur la planche pour améliorer les relations que les Parisiens entretiennent avec le monde la nuit. On espère qu’il arrivera à inverser la tendance, et empêcher les nombreuses fermetures administratives que peuvent connaître les clubs et salles de concert…
Crame & Reno
Pourquoi ? Parce que ces deux-là ne cessent de réinventer chaque mois leurs folles soirées House of Moda et que leurs sets sont le parfait équilibre entre pointu et fédérateur. Performances arty, thématiques barrées et headliners inattendus, c’est le grand rendez-vous fashion/freak parisien. L’art du costume.
Pourquoi ? Le concept des soirées Die Nacht était déjà ultra pertinent. Un line up soigné dans un lieu dévoilé à la dernière minute. Autant vous dire qu’on attend beaucoup de son nouveau projet, Blank… On ne manquera pas de vous tenir au courant.
Julien Catala
Pourquoi ? Super!, ce sont les bookeurs de tous les artistes indie que vous aimez. Gérant aussi le Trabendo, ils s’occupent aussi du Pitchfork Music Festival. Si vous dites dorénavant “ah oui, je connaissais déjà, avant qu’ils deviennent mainstream“, c’est un peu grâce à Super! et son boss Julien Catala.
Laura Leishmann
Pourquoi ? Parce qu’entre ses DJ set fédérateurs lors de soirées comme lors de la dernière Trash/Romance et son émission de radio sur la bande FM, Laura Leishmann ne fait jamais de faute de goût et fait exploser les compteurs. D’auditeurs et de danseurs.
Madeon
Pourquoi ? A seize ans, il se fait repérer sur YouTube avec une vidéo qui montre ses capacités de petit génie de l’électro. Après avoir enchainé les dates, le jeune homme se fait repérer par Gaga et l’invite sur son nouvel album. C’est à lui qu’on doit le morceau le plus intéressant de la jeune femme sur ARTPOP, “Gipsy”. On garde son nom en mémoire…
Manaré Coly
Pourquoi ? Membre du label Clek Clek Boom, Manaré a de nombreux projets. DJ plutôt pertinent, il s’occupe aussi d’une marque de vêtements qui attire tous les regards et laisse promettre le meilleur.
Marco Dos Santos
Pourquoi ? Il est vrai que son nom circule depuis longtemps dans la nuit parisienne. Mais depuis que Marco Dos Santos s’occupe du Nüba, le spot est devenu un arrêt obligé, encore plus quand les beaux jours reviendront…
Marie Garreau
Pourquoi ? Brillante chargée d’évènementiel, elle organise des soirées incontournables (les soirées Chérie-Chéri) dans les nouveaux spots branchés du Triangle d’Or et attire une clientèle parisienne chic et branchée.
Matthieu Gazier
Pourquoi ? Le fondateur du label Eklerosh’o’ck a du nez. On lui doit notamment la découverte de Benjamin Clementine, et d’Alexandre Chatelard, moitié de Cinéma. On vous conseille aussi Danger, et de surveiller ses prochaines signatures… On lui fait confiance.
Maxime Aƥrịḻe Debonton
Pourquoi ? Hyperactif des nuits parisiennes, il s’échappe actuellement de son étiquette Debonton pour s’appeler Aƥrịḻe. Toujours défenseur du gabber chez les Casual Gabberz, il organise les prometteuses Bye Bye Ocean et ravit les danseurs à chaque sortie.
Maxime Antonin et Alexandre Jonette
Pourquoi ? La jeune équipe de Paris Dernière, composée du photographe Maxime Antonin et du réalisateur Alexandre Jonette sont de toutes les nuits parisiennes, que ce soit pour tourner ou pour mixer.
Nicolas Jublot
Pourquoi ? Parce que transformer un bar berbère en Mecque de l’indiesphère est un sacré coup de force. L’Espace B propose sans nul doute la meilleure programmation live à Paris, et ce n’est pas pour rien si les billetteries sold-out s’enchainent inlassablement.
Pouvoir Magique
Pourquoi ? Cofondateurs du crew Mawimbi, ils réhabilitent les sonorités “ethniques” afro en les mêlant avec une sacrée maîtrise de la musique électronique. Leurs mixtapes sont passionnantes, leurs sets toujours plus attendus. French Touch 3.0?
Piu Piu
Pourquoi ? Membre avec Louise Chen et Betty Bensimon du collectif féminin Girls Girls Girls, elles proposent une version alternative et plus girly à la nuit parisienne. Piu Piu de plus a récemment sorti une excellente mixtape. A suivre de très près…
Sophie Morello
Pourquoi ? Ses soirées Kidnapping sont devenues le rendez-vous de toute la jeunesse parisienne. En mêlant live et Dj sets déglingués, elle réinvente le format concert et ça marche : les danseurs sont hystériques à chaque édition.
Stèv Romani-Soccoro
Pourquoi ? Parce qu’en organisant La Sale! et Mauvais Goût, il monte les soirées les plus chaudes et provocatrices de la capitale. Il décomplexe un clubbing parisien souvent trop élitiste et fait salle comble à chaque fois. Chapeau.
Teki Latex
Pourquoi ? Teki Latex fait tellement choses dans sa vie que trois lignes n’y suffiront pas. DJ, il a lancé dernièrement son émission Overdrive Infinity, Boiler Room à la sauce française, possède son label, et a été choisi dernièrement comme le parrain d’un tremplin pour jeune musicien électro. Comment cale t-il tout ça en 24 heures ? On ne sait pas.
Greg Boust de Tête d’Affiche
Pourquoi ? Montée par Greg Boust, Tête d’Affiche est une écurie de jeunes poulains, que ce soit de DJs ou de sélectors. Vous en croiserez forcément un ou plusieurs dans toutes les soirées de Paris. Ou à la Villa Schweppes…
Thibault Hartzine
Pourquoi ? Parce que c’est peut être l’un des seuls DJs capables de faire rester une partie de la foule de l’Espace B après la fin des métros, mais surtout pour son activisme au sein du webzine indie Hartzine : sélection impeccable, soirées de haut niveau. Implacable.
William & Wilson Doppelganger
Pourquoi ? Il y a une époque, à chaque fois qu’on se rendait à un opening, on tombait sur les Doppelganger. On a donc constaté que ces sélectors toujours bien sapés étaient un label de qualité.
Zaltan
Pourquoi ? Parce que son label Antinote écoule tous ses disques à une vitesse hallucinante, que ses soirées sont toujours audacieuses et que, surtout, il ne se passe pas un week end à Paris sans qu’il ne joue quelque part. Un vrai pilier de platine.