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Une soirée dans la Boiler Room au Wanderlust avec Sound Pellegrino

Jeudi 6 février, nous étions de nouveau invités à faire la fête dans la Boiler Room en compagnie de Teki Latex, Clement Meyer, Feadz et Orgasmic. Affiche bouillante (sans jeu de mots).

Ce n’est pas la première fois que l’on a la chance d’assister à une Boiler Room. Nous avions déjà eu le privilège d’être invités au tournage en streaming du DJ set de Cassius, dOP, Ivan Smagghe, Dimitri From Paris, Alan Braxe et DJ Deep. La barre était donc déjà haute pour Teki Latex, chargé de la programmation de cette nouvelle Boiler Room parisienne. Heureusement, le papa de Sound Pellegrino n’était pas à son premier coup d’essai…

Ce jeudi 6 février, le rendez-vous était donné à 21h au Wanderlust. Nous arrivons dans ces eaux-là et constatons que la terrasse du club est vide. Drôle d’impression après les folles soirées bondées de cet été… L’émission est filmée dans la salle intérieure et, le moins que l’on puisse dire quand on pénètre dans cette dernière, c’est que le dispositif est toujours aussi impressionnant. D’ailleurs c’est bien simple, les DJs sont envahi de câbles en tout genre : ceux des platines mais aussi ceux des GoPro. Aux platines, ce sont Clement Meyer et Crackboy qui sont en charge du warm up. “Je ne m’attendais pas trop à ça à cette heure-ci moi qui sort du boulot”, s’étonne une fille présente. Elle nous explique : “C’est du gros électro bien cool mais il n’est que 21h30 quand même !”

Oui mais c’est comme ça dans la Boiler Room : les six DJs bookés ce soir-là n’ont que quatre heures pour tout donner et pas question de se planter, des milliers de spectateurs les scrutent de chez eux, via leur écran d’ordinateur. Tous l’ont bien compris et notamment Feadz et Orgasmic qui, vers 22h30, prennent le relai devant les caméras. L’ambiance change alors de registre et l’électro laisse place à des sons un peu plus hip hop. Les invités se resserrent autour d’eux, les étouffant presque. “Un mec n’a pas arrêté de me coller pendant tout mon set. Super flippant !”, confie Feadz.

Il est bientôt une heure. Toutes les têtes d’affiche sont restées écouter le DJ set de Teki Latex et de Bok Bok chargés de fermer cette session Boiler Room. On décide pour notre part de filer en douce, ils peuvent peut être nous demander de les aider à tout ranger, qui sait ?

Le plus de la soirée : L’ambiance bon enfant façon fête de copains. Normal, Teki n’a convié (presque) que des amis.

Le moins : Être filmé après 23h, est-ce vraiment raisonnable ?

La rencontre de la soirée : Kanthos, le responsable du marketing digital chez Barclay : “J’aimerais bien, oui, voir ce qu’il va se passer à la Villa Schweppes à Cannes cette année”. C’EST NOTÉ.

La phrase de la soirée : “Il fait chaud ici, non ?”. Facile…

Le débat de la soirée : Doit-on traduire Boiler Room par “chambre bouillante” ou carrément “chaudière”. Si quelqu’un a la réponse, on prend.