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Un soir à Cannes entre séance de farniente sur le bateau et soirée du film Saint Laurent dans la Villa Saint Georges

Pour ce deuxième jour de festivités à Cannes, on a décidé, après une journée à bronzer au bord de la piscine, d’aller voir ce à quoi pouvait ressembler une belle soirée cinéma, en l’occurrence celle de Saint Laurent.

Comment se passe une journée type à La Villa Schweppes ? Assez oisivement, mais quoi qu’il arrive en musique ! Ce matin – disons à l’heure du déjeuner -, après la folle première nuit, tous ont continué à danser sur la terrasse, au bord de la piscine. LeAm, lui, était derrière les platines Club Costes by Albane. Il est pourtant bien au rendez-vous sur le ponton pour mixer à 13h pétante. À l’étage, les résidents déjeunent au soleil quand d’autres bronzent sur des transats. Du coup, l’après-midi filera au même rythme que se relaieront les navettes : vite ! À tel point que pointe 17h30, heure à laquelle tout bascule : les serveurs commencent à dégainer des Honey Tonic et CätCät (le nouveau projet de Cédric Couvez) commence son live. Des masques de chats circulent et finissent sur la tête des festivaliers. Fini le bain de soleil, place aux petits déhanchements ! “Ce que j’aime à Cannes, c’est qu’on peut faire n’importe quoi à n’importe quelle heure”, nous confiait Cédric Couvez un peu plus tôt. Pari réussi pour le monsieur… La journée se terminera en beauté !

Beaucoup plus tard, dans la nuit, c’est qui doit animer l’embarcation. On n’aura malheureusement pas l’occasion de voir Etienne de Crecy, Alex Gopher et Julien Delfaud sur scène (juste de leur poser quelques questions), on a rendez-vous Villa Saint Georges, dans les hauteurs de Cannes, pour la fête du film “Saint Laurent”. À l’entrée de l’incroyable propriété, ça se bouscule. “S’il vous plaît messieurs dames ce n’est qu’une soirée”, s’attriste l’une des responsables à la porte. La soirée est pleine à craquer et malgré l’immensité du lieu, on peine à circuler. “Je reviens du club où mixe Cut Killer, il fait une chaleur de dingue”, nous rapporte un photographe. Le message est passé et même si on aperçoit Gaspard Ulliel (ndlr, le premier rôle du film Saint Laurent, la version de Bertrand Bonello) à la porte de la salle en question, on ira plutôt à l’étage au-dessus, près de l’immense piscine pour boire une coupe de champagne. Et puis si l’on veut danser, on n’aura qu’à aller encore un étage plus haut, là où Edouard Rostand joue quelques disques. “Le cadre est fou et les gens sont beaux, non ?”, nous demande notre acolyte. “Cette soirée n’a rien de particulier, c’est toujours comme ça à Cannes !”, nous apostrophe un homme en costard. Oui mais il n’empêche, l’ambiance est un poil sage : ça discute – ça négocie, surtout – mais ça ne danse pas… contrairement en after à La Villa Schweppes. “Allez, on rentre chez nous faire la fête sur la terrasse”, lance Marco Prince. Et oui ne cherchez plus, tous les soirs c’est là que se passe l’after : sur le ponton du bateau Schweppes.

Le plus de la soirée : Le cadre de la Villa Saint Georges : trois niveaux, une piscine et de la végétation partout. On se croirait presque en Thaïlande !

Le moins : Le capitaine du bateau doit faire une manoeuvre entre 5h et 8h30 du matin. Impossible donc pour les navettes de circuler lors de ce créneau. On en connait qui ont dû rater le dernier ferry et passer une bonne nuit blanche ! Et oui, c’est aussi ça la vie sur un bateau !

La rencontre de la soirée : Marco Prince avec qui, dans la navette menant du bateau à la terre ferme, on discute travail, couple, voyages… Bref, Marco est quoi qu’il arrive, prêt à refaire le monde.

La phrase de la soirée : Cédric Couvez : “Cannes c’est l’occasion d’être débile”. Toujours là pour rigoler, Cédric.