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Soirée de réouverture du Showcase

Jeudi 20 mars, Savoir Faire et We Love Art ont invité le tout Paris nuit a célébrer la réouverture du Showcase sous leur direction. Une bonne grosse soirée qui nous a replongé quelques années en arrière…

Cela faisait un moment que l’on n’avait plus remis les pieds au Showcase. Très exactement depuis que Stephan et Tiboz ont quitté la Direction artistique du club pour se charger de celle du Zig Zag. C’est donc un peu comme si on allait redécouvrir un nouveau club qu’on s’est rendu sous le Pont Alexandre III ce jeudi 20 mars au soir.

Il est 22h et, déjà, une foule attend en file indienne sur le trottoir du haut. Jusqu’à 23h30, la fête est réservée aux journalistes et aux invités de Savoir Faire et We Love Art, les deux grosses agences d’évènementiel désormais à la tête de la Direction artistique du club. On sent tout de suite l’influence de cette première en jetant un oeil sur le line up annoncé pour le mois à venir (Brodinski et sa clique). Lorsque l’on pénètre dans cet ancien hangar, on perçoit aussi tout de suite la “touche” We Love des éclairages géométriques. La scénographie est vraiment magnifique ! Et puis on avait oublié ce cadre magique avec vue imprenable sur la Tour Eiffel. Ça change des sous-sols petits et moites de certains ex-bars à hôtesses !

Dans la salle, on reconnaît tout de suite quelques personnes et notamment des gens que l’on n’avait pas croisés depuis un moment. Un de ceux-là constate : “Ce soir, c’est une réunion d’anciens, ceux qui trainaient au Paris Paris. C’est comme si on était en 2009, à la différence que l’on est tous plus vieux”. Alors, forcément, l’ambiance s’en ressent et, à même pas minuit, ça commence déjà à bien déconner un peu partout dans la salle.

Cette salle, justement, commence sérieusement à se remplir et on peine à shooter les invités. “Tu as eu untel et unetelle ?”, se demandent entre eux les photographes présents. Ce soir-là il semble y avoir du monde à ne pas rater : Disclosure, mais difficile de ne pas voir les deux frères mixer sur scène, mais aussi quelques membres de Bromance, de Marble, Jamel Debbouze (!), Gesaffelstein (qui ne quittera pas les backstages de la soirée) et encore beaucoup d’autres. Tout ça fait déjà beaucoup se dit-on, jusqu’à ce qu’un garçon, un Canon entre les mains débarque, un peu excité : “Il y a un des Daft Punk. Le grand aux cheveux bouclés. J’ai essayé de le prendre en photo mais je me suis pris un bon gros râteau”. Thomas Bangalter, on présume…

Est-il vraiment là ? On ne le saura jamais parce que, même si on nous a donné sa description vestimentaire, on ne le retrouvera jamais. Tant pis, il est 2h, le club est maintenant plein à craquer et c’est carrément la folie pour se déplacer. On restera pour le début du live de Totally Enormous Extinct Dinosaurs puis on filera en direction de la sortie. À l’entrée, une jolie brune aussi sur le départ se console de partir si tôt : “Je vais garder des forces pour demain. Vitalic vient jouer, je ne veux pas rater ça”. Ce n’est sûrement pas la seule soirée là-bas qu’elle ne ratera pas.

Le plus de la soirée : La population (plein de copains), la programmation (le set de Disclosure : royal !) et la sensation agréable d’être revenu dix ans en arrière.

Le moins : Au bar il faut attendre. Le personnel est efficace mais il manque simplement des mains !

La rencontre de la soirée : Elena de Savoir Faire et Julie de We Love Art : “Allez, c’est parti pour l’interview en back to back”.

La phrase de la soirée : Un mec marrant (et mignon) : “Totally Enormous Extinct Dinosaurs physiquement c’est un peu le fils spirituel de Jamiroquai.”