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Guillaume Sanchez : “Faire ce que je sais faire le mieux : créer des choses insensées qui germent dans ma tête !”

Après l’Horror Picture Tea, le pâtissier star Guillaume Sanchez s’occupe désormais de la carte du bar du nouveau club de la rue Muller, Le Blue. Après nous avoir donné la recette du cocktail signature du lieu lors de la soirée d’Opening, nous avons, ce week-end, pu discuter plus au calme avec lui. Voici ce qu’il nous a

Après l’Horror Picture Tea, le pâtissier star Guillaume Sanchez s’occupe désormais de la carte du bar du nouveau club de la rue Muller, Le Blue. Après nous avoir donné la recette du cocktail signature du lieu lors de la soirée d’Opening, nous avons, ce week-end, pu discuter plus au calme avec lui. Voici ce qu’il nous a dit.

La Villa Schweppes : Quel est votre parcours ?

Guillaume Sanchez : J’ai commencé la pâtisserie il y a dix ans du côté de Bordeaux, ville dont je suis originaire. Le diplôme en poche, j’ai bougé à droite et à gauche (surtout à droite d’ailleurs !) puis ai atterri à Paris. Et là est née une belle histoire d’amour passionnelle…
Globalement, ma carrière est plutôt faite de mauvais choix et de mauvaises rencontres mais, au moins, ça aura eu le mérite de me pousser très tôt à prendre mon indépendance professionnelle et créative et a faire ce que je sais faire le mieux : créer des choses insensées qui germent dans ma tête !

Pourquoi aimez-vous travailler la nuit ?

GS : J’aime la nuit parce que le peuple devient fou. Plein de nouvelles choses découlent , la communication en général est exacerbée et plein de nouvelles choses se créent. Et puis la nuit porte conseil, non ?

Comment avez-vous travaillé la carte du Blue ?

GS : J’ai travaillé cette carte comme un type qui rentre chez lui après son quinzième verre et qui ouvre le frigo en se demandant : Comment réaliser un plat uniquement avec un fond de ketchup et une compote à la fraise ? J’ai voulu envoyer valser la gastronomie et les boutiques qui se la pètent pour revenir à de la gourmandise pure, intuitive et pleine de fraîcheur.

Où vous trouve t-on à 21h ?

GS : Chez mes potes, dans la rue, ou dans la rue de mes potes.

Et à 6 heures du matin ?

GS : En cuisine, en train de maltraiter mon équipe au réveil !

Votre dernière nuit blanche ?

GS : Ce week-end. J’avais un certain nombre de choses à produire pour Le Blue et un train à prendre.

C’est quoi votre QG ?

GS : Pas de lieu en particulier mais en général !

Votre top 3 des lieux où faire la fête à Paris ? Et pourquoi ?

GS : Le lieu n’est rien sans les personnes qui conviennent, alors partout tant que mes potes sont là.

Votre meilleur souvenir de fête ?

GS : Je garde peu de souvenirs de mes soirées. Du coup, j’ai beaucoup de chance d’avoir des amis photographes . Ou pas… Enfin bon de toute façon cette question ne se pose plus, j’ai promis à ma copine de me calmer.

Votre meilleur acolyte pour sortir ?

GS : Une bouteille d’Hendricks.

À quel(s) DJ(s) Confieriez-vous vos nuits ?

GS : Je n’en sais rien, je n’en connais aucun de bon.

La chanson qui vous ferait vous lever de la banquette pour danser ?

GS :Wild For The Night“d’.

Le morceau qui tourne en boucle dans vos oreilles en ce moment ?

GS : “Olympic Airways” de Foals.

La Nuit…

GS : La nuit je mens.