Death In June de retour sur scène, voilà qui va mettre en transe les jeunes gens aux ongles vernis et aux traits d’eyeliners noirs. Le groupe de l’immense Douglas Pearce s’offre un minitour dans l’hexagone qui fait déjà pétiller l’indie-sphère tout en ne cessant pas de créer la controverse.
Death In June de retour sur scène, voilà qui va mettre en transe les jeunes gens aux ongles vernis et aux traits d’eyeliners noirs. Le groupe de l’immense Douglas Pearce s’offre un mini tour dans l’hexagone qui fait déjà pétiller l’indie-sphère tout en ne cessant pas de créer la controverse. Et malgré ça, les fans se sont rués sur les places. Explications !
Une seule date à Paris, des places très chères, voilà qui est difficile à avaler quand on pense que le groupe est connu pour être un modèle d’esprit indie. Qui plus est, le plateau est un peu consanguin, la première partie n’étant ni plus ni moins que le groupe du claviériste du groupe Miro Snejdr. On aurait bien aimé y voir la nouvelle génération de groupes dark qui ne cesse de leur rendre hommage, les parisiens de Seventeen At This Time en tête.
Malgré tout, il n’a pas fallu longtemps à la “communauté corbeau” pour céder aux sirènes d’une telle date, et on les comprend. Un événement vraiment rare, précieux, qui devrait nier la règle selon laquelle il ne faut pas voir les vieux groupes de rock après un certain âge. Nous nous rendrons donc avec un plaisir maculé mais non contenu le 30 Octobre au Petit Bain, impatients de voir la légende en action !
