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Chronique : un dimanche après midi à l’Hotel Bonheur

Pour la journée internationale du bonheur et l’arrivée du printemps, Bonheur Permanent (qui d’autre ?) organisait au Pigalle un événement comme on aimerait en voir plus souvent. On vous raconte !

Le printemps arrivait cette année le dimanche 20 mars, et hasard du calendrier, la journée internationale du bonheur tombait ce même jour. Pour l’occasion, l’équipe de Bonheur Permanent a investi le salon de l’hôtel Le Pigalle, à deux pas de la place du même nom. Le programme (dans le désordre) était alléchant : DJ sets, live, goûter, cocktails et rayons de soleil. Malheureusement, le soleil n’était pas vraiment au rendez-vous, mais tous les autres ingrédients étaient présents.

Bonheur Permanent investit Le Pigalle

À notre entrée dans le lobby, Dee & Tee sont d’ores et déjà aux platines dans le salon, tout près du bar sur lequel l’équipe de l’établissement, en collaboration avec Bonheur Permanent, on disposé quelques friandises pour quiconque se sent d’humeur de picorer. Au bar, on nous sert des cocktails et la carte propose également tout ce qu’il faut pour passer un lazy sunday. Du chocolat chaud aux diverses infusions en passant par les viennoiseries, rien n’est ommis, et les prix sont plutôt raisonnables, pour un établissement aussi agréable.

On nous signale qu’à 17h le duo Bleu Toucan (Profil de Face Records) se donnera en représentation à l’étage, dans la chambre 12. Encore quelques feel good tracks du duo de DJettes et on se décide de monter voir ce que les deux musiciens nous proposent.

Bleu Toucan en showcase : chambre 12

En arrivant devant la chambre 12, il nous semble entendre de la musique. Le showcase a commencé et on se dépêche pour ne pas en louper une miette. A l’intérieur : une dizaine de personne se tient devant le lit de la chambre, dans lequel le duo est confortablement installé. Claviers sur les cuisses par dessus les couvertures, synthés et laptop sur le lit, et micros tendus par les deux faces du label Profil de Face, les deux interprètes nous jouent des morceaux aux titres exotiques, pendant que la chambre continue à se remplir.

Bientôt la petite chambre est en surchauffe, on ouvre alors les deux fenêtres qui donnent sur la rue Frochot et le groupe continue d’envoyer ses derniers morceaux. On aura même le droit à quelques inédits et à une ou deux blagues de Léo. Manu, plus réservé, se contentera de commenter et de rire, avec le reste de l’assemblée. Visiblement, cette représentation intimiste était une véritable réussite.

Noir Gaazol stationnait pour l'occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l’occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l'occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l’occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l'occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l’occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l'occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l’occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l'occasion son tricycle devant Le Pigalle

Noir Gaazol stationnait pour l’occasion son tricycle devant Le Pigalle

Il est rapidement l’heure de prendre l’air, de se rafraichir. C’est à ce moment qu’on remarquera que devant l’hôtel, invité par Bonheur Permanent, un tricycle du pop-up store itinérant Noir Gaazol est venu se joindre à la fête et proposer à ceux qui y participent une sélection de produits chouettes et parfait pour compléter par exemple votre déco à la maison.

Il est bientôt 19h et bien que ce soit le printemps, le soleil et la chaleur ne sont pas tout à fait à l’heure. C’est là que nous décidons de quitter cet après-midi qui aura pour le coup été une vraie réussite. Le brunch dominical, c’est bien, mais s’amuser ainsi dans un endroit aussi sympathique que Le Pigalle, c’est très évidemment à refaire très bientôt !

Le plus de ce dimanche : Le Pigalle, l’endroit idéal pour une telle partie de plaisir.

Le moins de ce dimanche : C’était techniquement le printemps, malgré les degrés du thermomètre.

La phrase de ce dimanche : “Je fais beaucoup de blagues en concert et si ça marche, je pars faire les premières parties de Gad Elmaleh” Léo de Bleu Toucan.