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Cannes 2013 jour 8 : La Femme chante à la Villa Schweppes !

Grosse soirée hier soir à la Villa Schweppes ! Après un warm up d’Aeropop, Aeroplane & Attari, c’est le groupe montant La Femme qui a pris place sur scène. Enfin, un DJ set avec les meilleurs sons d’NTM à clôturé la soirée. Ca annonce du lourd pour la suite !

Woodkid, Phoenix et la Femme en live quasi simultané et intimiste hier soir sur la Croisette. Une programmation à faire pâlir d’envie n’importe quel festival musical.

Des lives d’exception toute la soirée

Ça commence d’emblée bien hier à la Villa Schweppes avec un petit warm up du label Aeropop et ses artistes Aeroplane & Attari. Parfait pour se mettre en jambes pour cette nuit s’annonçant particulièrement chargée. 22 heures, dilemme : concert privé de Woodkid ou live secret de Phoenix ? La vie est parfois difficile et il faut savoir faire des choix. On penche finalement pour la seconde option. Sans regret tant ce live des jeunes français dans le vent nous a scotché. Avec Phoenix, décollage au plus haut assuré. A peine le temps de se remettre de nos émotions et vite, retour à la Villa Schweppes pour assister aux sympathiques prestations de deux groupes prometteurs Gentle Republic et Employee of the Year. Puis, c’est le groupe qui monte La Femme qui a pris place sur la scène de la Villa Schweppes pour glisser avec élégance et modernité sur la nouvelle vague de la pop/new wave française. Avec eux, de nouveau, on s’envole vers les cimes.

Voyage au bout de la nuit Cannoise

2 heures : on poursuit notre tournée des grands ducs au patio Canal + dans lequel on croise Mark Ronson en mode DJ et Lola Dewaere, Laurent Weil, Milla Jovovich ou Liya Kebede en train de lui faire honneur sur le dance floor. On reste un peu du coup, forcément. 4 heures : arrivée chez Madame la Baronne pour assister au show des transformistes, avant d’achever la nuit assez classiquement chez son époux Mr. le Baron. Lequel reste toujours plein (à l’instar de la plupart de ses convives d’ailleurs) même à 5 heures du matin. Au final, une belle nuit de musique et de rencontres.

Une chronique de Monsieur B